Pourquoi JAi Pas Mes RèGles?
Qu’est-ce que l’aménorrhée ? – L’aménorrhée est l’absence de menstruations chez une femme en âge de procréer. Le mot « aménorrhée » provient du grec a pour privation, « mên » pour mois et « rhein » pour couler. De 2 % à 5 % des femmes seraient touchées par l’aménorrhée.
Pourquoi je n’ai pas mes règles alors que je ne suis pas enceinte ?
Les causes anormales – En dehors des situations citées ci-dessus, l’absence de règles n’est pas un phénomène naturel et constitue alors un symptôme, Il doit faire l’objet d’une attention toute particulière pour en trouver la cause. Plusieurs causes peuvent être à l’origine d’une aménorrhée :
La pratique intensive d’un sport Une sécrétion anormale de prolactine, une hormone sécrétée par l’hypophyse. Produite à un taux trop élevé, elle peut également provoquer un écoulement de lait par les seins. L’anorexie mentale Un ovaire micropolykystique Une ménopause précoce Un traitement pour des troubles psychiatriques ou une dépression Un stress chronique
L’absence de règles peut aussi être observée après l’arrêt d’une pilule contraceptive, et ce, pendant quelques mois. Si cela se prolonge au-delà de 4 à 5 mois, n’hésitez pas à consulter un gynécologue ou une sage-femme pour convenir d’un traitement hormonal qui vous règlera de nouveau. Ne restez pas seule avec vos questions
Est-ce grave de ne pas avoir ses règles pendant 1 mois ?
Absence de règles pendant un mois : est-ce normal ? par Kelly Je voudrais savoir si c’est normal d’avoir un retard de règles d’un mois. Kelly, 20 ans Une absence de règles peut correspondre à bien des choses différentes : – chez une jeune fille qui a eu ses règles pour la première fois depuis moins de 2 ou 3 ans, c’est très fréquent d’observer des irrégularités.
- Il ne faut pas s’en inquiéter.
- Chez une femme de plus de 45 ans, il peut s’agir de la préménopause.
- Ce n’est pas inquiétant non plus.
- Chez une femme qui a des rapports sexuels, il faut bien sûr faire un test de grossesse 3 semaines après le dernier rapport sexuel à risque, même s’il a été protégé, car il existe des grossesses même avec utilisation de préservatif – Chez une femme qui prend la pilule sans oubli, il est possible parfois de ne pas saigner ou très peu entre deux plaquettes.
Car il ne s’agit pas de règles, mais de saignements de privation souvent nettement moins abondants que des règles. – Et parfois, chez une femme sans problème, il peut arriver de temps à autre, même sans grossesse qu’un cycle soit très long. C’est souvent que l’ovulation n’a pas pu se faire, pour une raison souvent inconnue (stress ? Vacances ?.) Catherine Solano Médecin Ses convictions : Chacun doit être encouragé à prendre en charge sa santé physique et mentale car la médecine et les médecins ne peuvent pas tout, loin de là. Et si tout le monde le faisait, les systèmes d’assurance maladie feraient du bénéfice !, Najem 22 ans, Grace 21 ans, Ophélie 23 ans, Audrey 33 ans, Jose 62 ans, Amina 45 ans, Ryane 14 ans Conformément à nos, les médecins ne sont pas habilités à porter de diagnostic en ligne.
Pourquoi les règles tardent à venir ?
Certains états médicaux à long terme tels qu’une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l’arrêt ou l’irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Comment faire venir ses règles plus tôt ?
Les remèdes naturels pour déclencher le flux sanguin – Vous n’aimez pas consulter un médecin ? Parlons remèdes de grand-mère, botanique et plantes emménagogues, Derrière ce terme digne de Mme Chourave se cachent les plantes dont les propriétés stimulent le flux de sang, notamment au niveau de l’utérus.
- La consommation de telles plantes peut aider à l’apparition des règles.
- Parmi elles, on peut citer le persil, mais aussi la sauge (à éviter en cas de cancer hormono-dépendant, de grossesse ou d’allaitement), la cannelle, la menthe Pouliot, le safran, le curcuma.
- Vous pouvez consommer sans excès le persil, la sauge, la menthe Pouliot en infusion.
Agrémentez vos légumes d’épices (et de persil !). Vous aurez la joie de manger des plats parfumés, relevés (et saupoudrés de persil). Et si boire une infusion ou pimper le contenu de votre assiette aide vos règles à se déclencher, c’est parfait ! La vitamine C a, elle, est réputée aider aux contractions de l’utérus, ce qui peut contribuer à déclencher vos menstruations.
Gorgez-vous de jus de fruits et légumes, de bons fruits frais pleins de vitamine C. C’est bon pour la santé et pour vos règles. Vous allez être en pleine forme, faites-le test ! Dernier des remèdes naturels, encore meilleur qu’une cure de vitamine : avoir un orgasme provoque des contractions utérines qui peuvent accélérer l’arrivée des règles.
On dit ça comme ça
Est-ce grave de ne pas avoir ses règles pendant 1 mois ?
Absence de règles pendant un mois : est-ce normal ? par Kelly Je voudrais savoir si c’est normal d’avoir un retard de règles d’un mois. Kelly, 20 ans Une absence de règles peut correspondre à bien des choses différentes : – chez une jeune fille qui a eu ses règles pour la première fois depuis moins de 2 ou 3 ans, c’est très fréquent d’observer des irrégularités.
Il ne faut pas s’en inquiéter. – Chez une femme de plus de 45 ans, il peut s’agir de la préménopause. Ce n’est pas inquiétant non plus. – Chez une femme qui a des rapports sexuels, il faut bien sûr faire un test de grossesse 3 semaines après le dernier rapport sexuel à risque, même s’il a été protégé, car il existe des grossesses même avec utilisation de préservatif – Chez une femme qui prend la pilule sans oubli, il est possible parfois de ne pas saigner ou très peu entre deux plaquettes.
Car il ne s’agit pas de règles, mais de saignements de privation souvent nettement moins abondants que des règles. – Et parfois, chez une femme sans problème, il peut arriver de temps à autre, même sans grossesse qu’un cycle soit très long. C’est souvent que l’ovulation n’a pas pu se faire, pour une raison souvent inconnue (stress ? Vacances ?.) Catherine Solano Médecin Ses convictions : Chacun doit être encouragé à prendre en charge sa santé physique et mentale car la médecine et les médecins ne peuvent pas tout, loin de là. Et si tout le monde le faisait, les systèmes d’assurance maladie feraient du bénéfice !, Najem 22 ans, Grace 21 ans, Ophélie 23 ans, Audrey 33 ans, Jose 62 ans, Amina 45 ans, Ryane 14 ans Conformément à nos, les médecins ne sont pas habilités à porter de diagnostic en ligne.
Est-ce grave de ne pas avoir ses règles pendant 3 mois ?
L’absence de règles est appelée aménorrhée. L’aménorrhée est normale dans les circonstances suivantes :
Avant la puberté Pendant la grossesse Pendant l’allaitement Après la ménopause
En dehors de ces périodes, elle peut être le premier symptôme d’un trouble grave. Chez la plupart des femmes atteintes d’aménorrhée, les ovaires ne libèrent pas d’ovule. Ces femmes ne peuvent donc pas tomber enceintes. Il existe deux types principaux d’aménorrhée :
Essentielle : les règles n’apparaissent pas. Secondaire : les règles surviennent, puis disparaissent.
Généralement, si les règles n’apparaissent pas, les jeunes filles n’entrent pas en phase de puberté, et les caractères sexuels secondaires comme les seins et les poils pubiens ne se développent donc pas normalement. Si la femme a eu des règles et qu’elles ont disparu, elle peut souffrir d’aménorrhée secondaire. L’aménorrhée secondaire est beaucoup plus courante que l’aménorrhée primaire.
L’hypothalamus (partie du cerveau qui aide à contrôler l’hypophyse) L’hypophyse, qui produit l’hormone lutéino-stimulante et l’hormone folliculo-stimulante Les ovaires, qui produisent des œstrogènes et de la progestérone
D’autres hormones, comme les hormones thyroïdiennes et la prolactine (produites par l’hypophyse), ont une incidence sur le cycle menstruel. Les affections qui peuvent provoquer une aménorrhée comprennent les troubles hormonaux, les malformations congénitales, les troubles génétiques, les médicaments et les drogues illicites.
Dysfonctionnement de n’importe quel élément du système hormonal (hypothalamus, hypophyse et ovaires)
Lorsque ce système fonctionne mal, les ovaires ne libèrent pas d’ovule. Le type d’aménorrhée qui en résulte est appelé dysfonctionnement ovulatoire. L’aménorrhée peut aussi résulter de conditions affectant l’utérus, le col de l’utérus ou le vagin. Plus rarement, le système hormonal fonctionne normalement, mais un autre problème empêche la survenue des règles.
Par exemple, les saignements menstruels ne se produisent pas du fait d’une cicatrisation de l’utérus (syndrome d’Asherman), ou parce que le col de l’utérus est rétréci (sténose cervicale), ou parce qu’une malformation congénitale obstrue l’écoulement du flux menstruel hors du vagin. Les causes les plus courantes dépendent du type de l’aménorrhée, à savoir primaire ou secondaire.
Les troubles qui provoquent une aménorrhée primaire sont peu courants, mais les plus fréquents sont : Les maladies génétiques comprennent
Troubles qui entraînent la présence d’un chromosome Y (qui n’apparaît normalement que chez les hommes).
Les maladies génétiques et les anomalies congénitales qui provoquent une aménorrhée primaire peuvent passer inaperçues jusqu’à la puberté. Ces troubles provoquent uniquement une aménorrhée primaire, et non secondaire. Les causes les plus courantes sont
Grossesse Allaitement Dysfonctionnement de l’hypothalamus Dysfonctionnement de l’hypophyse ou de la glande thyroïde Utilisation de certains médicaments, comme les pilules contraceptives (contraceptifs oraux), les antidépresseurs ou les médicaments antipsychotiques
La grossesse est la cause la plus courante d’aménorrhée chez les femmes en âge de procréer. L’ hypothalamus peut être dysfonctionnel pour différentes raisons :
Stress ou activité physique intense (comme chez les athlètes de haut niveau, en particulier les femmes pratiquant des sports qui impliquent de conserver un faible poids corporel) Radiothérapie du cerveau ou lésion cérébrale
L’ hypophyse peut être dysfonctionnelle pour les raisons suivantes :
Elle est lésée par un trouble (comme une tumeur) ou un traumatisme crânien. Le taux de prolactine est élevé.
Les antidépresseurs, les médicaments antipsychotiques, les contraceptifs oraux (parfois) ou certains autres médicaments peuvent provoquer une augmentation des taux de prolactine, comme c’est le cas des tumeurs hypophysaires et de certaines autres maladies.
Les causes moins courantes d’aménorrhée secondaire incluent les maladies chroniques (notamment des poumons, de l’appareil digestif, du sang, des reins ou du foie), certaines maladies auto-immunes, le cancer, l’infection par le VIH, la radiothérapie, les traumatismes crâniens, la môle hydatiforme (excroissance de tissu du placenta), le syndrome de Cushing et le dysfonctionnement des glandes surrénales.
La cicatrisation de l’utérus (généralement due à une infection ou une intervention chirurgicale), les polypes et les fibromes peuvent également entraîner une aménorrhée secondaire. Le médecin détermine si l’aménorrhée est primaire ou secondaire. Cette information peut les aider à identifier la cause.
Développement de caractères masculins, tels qu’une pilosité corporelle excessive, une réduction du timbre de la voix et une augmentation de la masse musculaire Troubles de la vision Une variation significative du poids
Les jeunes filles doivent consulter un médecin dans les semaines à venir si :
Elles n’ont pas de signes de puberté (tels que le développement des seins ou une poussée de croissance) avant l’âge de 13 ans. Les règles n’ont pas commencé 3 ans après le début du développement des seins. Les règles n’ont pas commencé avant l’âge de 15 ans chez les filles qui grandissent normalement et ont développé des caractères sexuels secondaires.
Il est probable que ces jeunes filles soient atteintes d’aménorrhée primaire. Si une fille ou femme en âge de procréer a eu des règles qui se sont arrêtées, elle doit alors consulter un médecin dans les cas suivants :
Absence de règles pendant 3 cycles Moins de 9 règles par an Schéma des règles qui change soudainement
Il est probable que ces femmes soient atteintes d’aménorrhée secondaire. Les médecins réalisent toujours un test de grossesse lorsqu’ils évaluent une aménorrhée secondaire. Les femmes peuvent souhaiter effectuer un test de grossesse à domicile avant de consulter un médecin.
Le médecin pose d’abord des questions sur les antécédents médicaux, notamment sur l’historique menstruel. Le médecin réalise ensuite un examen clinique. Les observations faites par les médecins pendant le relevé des antécédents et l’examen clinique les aiguillent souvent sur la cause de l’aménorrhée et les examens complémentaires à réaliser le cas échéant (voir le tableau ).
Concernant l’ historique des règles, les médecins déterminent si l’aménorrhée est primaire ou secondaire, en demandant à la jeune fille ou à la femme si elle a déjà eu des règles. Si c’est le cas, il lui demande à quel âge elles sont apparues et quand les dernières menstruations ont eu lieu.
Leur durée Leur fréquence Leur régularité Leur régularité au cours des 3 à 12 derniers mois Leur abondance La présence de tension mammaire ou de changements de l’humeur liés aux règles
Si une jeune fille n’a jamais eu de règles, les médecins demandent :
Si les seins ont commencé à se développer et, le cas échéant, à quel âge Si elle a eu une poussée de croissance et, le cas échéant, à quel âge Si des poils au niveau du pubis et sous les bras (signes de puberté) sont apparus et, le cas échéant, à quel âge Si un autre membre de la famille a eu des règles anormales
Ces informations permettent au médecin d’écarter certaines causes. Les informations portant sur l’existence de retard de la puberté et de maladies génétiques chez les membres de la famille aident le médecin à cerner si la cause provient ou non d’une maladie génétique.
Les médecins posent des questions sur les autres symptômes pouvant suggérer une cause et sur l’utilisation de médicaments (y compris les médicaments sur ordonnance et en vente libre, les compléments alimentaires et les opioïdes), l’exercice physique, les habitudes alimentaires et d’autres affections pouvant provoquer une aménorrhée.
Le médecin vérifie également les symptômes pouvant suggérer une cause, comme :
Un écoulement de lait provenant des deux mamelons : les causes possibles incluent les maladies hypophysaires et les médicaments qui augmentent les taux de prolactine (une hormone qui stimule la production de lait). Des céphalées, une perte auditive, et une perte partielle de la vision ou une vision double : les causes possibles incluent les tumeurs hypophysaires ou de l’hypothalamus.
Chez les filles ou les femmes en âge de procréer, les tests peuvent inclure
Un test de grossesse Analyses de sang pour mesurer les taux d’hormones Examen ou procédure d’imagerie pour examiner le système reproducteur (comme une échographie ou une hystéroscopie) Parfois, prise de médicaments hormonaux pour déterminer s’ils déclenchent les règles
Un test de grossesse est parfois réalisé même chez les filles qui n’ont pas eu de règles ou qui n’ont pas signalé d’activité sexuelle. Si la grossesse est écartée, d’autres tests sont effectués à partir des résultats de l’examen et de la cause suspectée.
Si les jeunes filles n’ont jamais eu de règles (aménorrhée primaire) et ont des caractéristiques sexuelles secondaires normales, les examens commencent par un bilan hormonal, un examen clinique, et une échographie pour vérifier les anomalies congénitales qui pourraient empêcher l’évacuation du sang menstruel de l’utérus.
Si les anomalies congénitales sont inhabituelles ou difficiles à identifier, une imagerie par résonance magnétique (IRM) peut être effectuée. Les examens sont généralement effectués dans un certain ordre, et les causes sont identifiées ou éliminées au fur et à mesure.
- Si les symptômes suggèrent un trouble particulier, des analyses spécifiques à ce trouble sont effectuées en premier.
- Par exemple, si la femme souffre de céphalées et de troubles de la vue, une IRM du cerveau est effectuée pour rechercher une tumeur hypophysaire.
- La nécessité d’examens supplémentaires et leur type dépendent des résultats des examens précédents.
Les examens habituels incluent :
Des analyses de sang pour mesurer les taux de certaines hormones, y compris la prolactine (pour détecter des taux élevés, qui peuvent interférer avec les règles), les hormones thyroïdiennes (pour rechercher des maladies thyroïdiennes), l’hormone folliculo-stimulante (pour rechercher un dysfonctionnement de l’hypophyse ou de l’hypothalamus) et les hormones masculines (pour rechercher des troubles qui provoquent le développement des caractères masculins) Des imageries de l’abdomen et du pelvis pour rechercher une tumeur des ovaires ou des glandes surrénales (d’ordinaire par échographie, mais parfois par tomodensitométrie ou IRM) Un examen des chromosomes contenus dans un échantillon de tissu (comme du sang) pour rechercher des maladies génétiques Une utilisation d’hormones (œstrogènes et progestatif ou progestérone) pour essayer de déclencher les saignements menstruels
Pour l’ hystéroscopie, les médecins introduisent une fine sonde optique par le vagin et le col de l’utérus pour visualiser l’intérieur de l’utérus. Cette procédure peut être effectuée au cabinet d’un médecin ou à l’hôpital en tant que procédure ambulatoire.
L’ hystérosalpingographie consiste à prendre des clichés radiographiques après avoir injecté une substance (agent de contraste radio-opaque) visible aux rayons X par le col de l’utérus dans l’utérus et les trompes de Fallope. L’hystérosalpingographie est habituellement pratiquée en tant que procédure ambulatoire dans une salle de radiologie hospitalière.
Des hormones (progestatif ou œstrogènes plus progestatif) peuvent être administrées par voie orale pour tenter de déclencher les saignements menstruels. Si les hormones déclenchent des saignements menstruels, la cause peut être un dysfonctionnement du système hormonal qui contrôle les règles ou une ménopause précoce.
Si les hormones ne déclenchent pas de saignements menstruels, il peut s’agir d’un trouble de l’utérus ou d’une anomalie structurelle empêchant l’écoulement du sang menstruel. Si une jeune fille n’a pas encore eu ses premières règles et que tous les examens sont normaux, elle doit voir un professionnel de santé tous les 3 à 6 mois pour surveiller la progression de sa puberté.
Il est possible de lui prescrire un médicament appelé progestatif et, parfois, de l’œstrogène pour déclencher l’apparition des premières règles et stimuler le développement des caractères sexuels secondaires, tels que les seins. Les problèmes associés à l’aménorrhée peuvent nécessiter un traitement, comme : Les effets de la carence en œstrogènes peuvent être minimisés en prenant de la vitamine D, en consommant plus de calcium dans l’alimentation ou avec des compléments alimentaires, ou en prenant des médicaments, notamment un traitement hormonal et des médicaments qui préviennent la perte osseuse, tels que les bisphosphonates Médicaments ou le dénosumab.
Diverses conditions peuvent perturber le système hormonal complexe qui régule le cycle menstruel, provoquant ainsi l’arrêt des règles. Les médecins distinguent l’aménorrhée primaire (des règles n’étant jamais apparues) et l’aménorrhée secondaire (des règles étant survenues, puis ayant disparu). Le premier examen pratiqué est généralement un test de grossesse. Hormis si la femme est enceinte, d’autres analyses sont généralement nécessaires pour déterminer la cause de l’aménorrhée. Les problèmes associés à l’aménorrhée (tels qu’un faible taux d’ œstrogènes ) peuvent également nécessiter un traitement pour prévenir des problèmes de santé ultérieurs, tels que des fractures dues à la diminution de la densité osseuse (ostéoporose).