Pourquoi Je NAi Pas Mes RèGles?

Pourquoi Je NAi Pas Mes RèGles?

Pourquoi Je NAi Pas Mes RèGles
Qu’est-ce que l’aménorrhée ? – L’aménorrhée est l’absence de menstruations chez une femme en âge de procréer. Le mot « aménorrhée » provient du grec a pour privation, « mên » pour mois et « rhein » pour couler. De 2 % à 5 % des femmes seraient touchées par l’aménorrhée.

Quand s’inquiéter d’absence de règles ?

Retard de règles : peut-il y avoir d’autres causes qu’une grossesse ? – D’autres causes qu’une grossesse peuvent entraîner un retard ou une absence de règles. Le plus souvent, ces retards sont sans gravité, mais si l’absence de règles s’installe (plusieurs cycles) et que vos tests de grossesse sont négatifs, il est recommandé de consulter un médecin pour faire un bilan.

  • un choc émotionnel ou une période de stress important, une modification dans le mode de vie (la perte d’un proche, des difficultés financières importantes, des problèmes familiaux, etc.) ;
  • une pratique sportive intense ;
  • un changement de ou encore l’arrêt de la pilule ;
  • un effet secondaire d’un traitement médicamenteux ;
  • la préménopause ;
  • etc.

Bon à savoir : les personnes ayant des troubles alimentaires, comme l’anorexie, ou qui sont obèses sont plus souvent sujettes à ces absences de règles.

Comment faire si les règles ne viennent pas ?

QU’EST-CE QUI PEUT CAUSER UN RETARD DES RÈGLES ? – Un retard de règles est généralement le signe d’une grossesse mais d’autres facteurs peuvent allonger le cycle. D’abord, il faut avoir en tête qu’un retard de quelques jours peut être lié aux fluctuations normales du cycle.

  1. Les femmes ne sont pas des pendules de précision ! Certaines femmes ont des cycles qui oscillent entre 25 et 32 jours.
  2. Un retard de règles peut être simplement lié à une perturbation hormonale.
  3. Chez certaines femmes, un changement de climat, un voyage ou une émotion forte peuvent suffire à bloquer l’ovulation, ce qui entraîne un retard de règles.

Juste après l’arrêt de la pilule ou durant les trois premières années des règles, il est fréquent d’avoir des retards de règles. Il ne faut pas s’inquiéter outre mesure. Si vous avez perdu beaucoup de poids et que vos règles sont très en retard, consultez un gynécologue.

Est-il grave de ne pas avoir ses règles ?

L’absence de règles est appelée aménorrhée. L’aménorrhée est normale dans les circonstances suivantes :

Avant la puberté Pendant la grossesse Pendant l’allaitement Après la ménopause

En dehors de ces périodes, elle peut être le premier symptôme d’un trouble grave. Chez la plupart des femmes atteintes d’aménorrhée, les ovaires ne libèrent pas d’ovule. Ces femmes ne peuvent donc pas tomber enceintes. Il existe deux types principaux d’aménorrhée :

Essentielle : les règles n’apparaissent pas. Secondaire : les règles surviennent, puis disparaissent.

Généralement, si les règles n’apparaissent pas, les jeunes filles n’entrent pas en phase de puberté, et les caractères sexuels secondaires comme les seins et les poils pubiens ne se développent donc pas normalement. Si la femme a eu des règles et qu’elles ont disparu, elle peut souffrir d’aménorrhée secondaire. L’aménorrhée secondaire est beaucoup plus courante que l’aménorrhée primaire.

L’hypothalamus (partie du cerveau qui aide à contrôler l’hypophyse) L’hypophyse, qui produit l’hormone lutéino-stimulante et l’hormone folliculo-stimulante Les ovaires, qui produisent des œstrogènes et de la progestérone

D’autres hormones, comme les hormones thyroïdiennes et la prolactine (produites par l’hypophyse), ont une incidence sur le cycle menstruel. Les affections qui peuvent provoquer une aménorrhée comprennent les troubles hormonaux, les malformations congénitales, les troubles génétiques, les médicaments et les drogues illicites.

Dysfonctionnement de n’importe quel élément du système hormonal (hypothalamus, hypophyse et ovaires)

Lorsque ce système fonctionne mal, les ovaires ne libèrent pas d’ovule. Le type d’aménorrhée qui en résulte est appelé dysfonctionnement ovulatoire. L’aménorrhée peut aussi résulter de conditions affectant l’utérus, le col de l’utérus ou le vagin. Plus rarement, le système hormonal fonctionne normalement, mais un autre problème empêche la survenue des règles.

  • Par exemple, les saignements menstruels ne se produisent pas du fait d’une cicatrisation de l’utérus (syndrome d’Asherman), ou parce que le col de l’utérus est rétréci (sténose cervicale), ou parce qu’une malformation congénitale obstrue l’écoulement du flux menstruel hors du vagin.
  • Les causes les plus courantes dépendent du type de l’aménorrhée, à savoir primaire ou secondaire.

Les troubles qui provoquent une aménorrhée primaire sont peu courants, mais les plus fréquents sont : Les maladies génétiques comprennent

Troubles qui entraînent la présence d’un chromosome Y (qui n’apparaît normalement que chez les hommes).

Les maladies génétiques et les anomalies congénitales qui provoquent une aménorrhée primaire peuvent passer inaperçues jusqu’à la puberté. Ces troubles provoquent uniquement une aménorrhée primaire, et non secondaire. Les causes les plus courantes sont

Grossesse Allaitement Dysfonctionnement de l’hypothalamus Dysfonctionnement de l’hypophyse ou de la glande thyroïde Utilisation de certains médicaments, comme les pilules contraceptives (contraceptifs oraux), les antidépresseurs ou les médicaments antipsychotiques

La grossesse est la cause la plus courante d’aménorrhée chez les femmes en âge de procréer. L’ hypothalamus peut être dysfonctionnel pour différentes raisons :

Stress ou activité physique intense (comme chez les athlètes de haut niveau, en particulier les femmes pratiquant des sports qui impliquent de conserver un faible poids corporel) Radiothérapie du cerveau ou lésion cérébrale

L’ hypophyse peut être dysfonctionnelle pour les raisons suivantes :

Elle est lésée par un trouble (comme une tumeur) ou un traumatisme crânien. Le taux de prolactine est élevé.

Les antidépresseurs, les médicaments antipsychotiques, les contraceptifs oraux (parfois) ou certains autres médicaments peuvent provoquer une augmentation des taux de prolactine, comme c’est le cas des tumeurs hypophysaires et de certaines autres maladies.

Les causes moins courantes d’aménorrhée secondaire incluent les maladies chroniques (notamment des poumons, de l’appareil digestif, du sang, des reins ou du foie), certaines maladies auto-immunes, le cancer, l’infection par le VIH, la radiothérapie, les traumatismes crâniens, la môle hydatiforme (excroissance de tissu du placenta), le syndrome de Cushing et le dysfonctionnement des glandes surrénales.

La cicatrisation de l’utérus (généralement due à une infection ou une intervention chirurgicale), les polypes et les fibromes peuvent également entraîner une aménorrhée secondaire. Le médecin détermine si l’aménorrhée est primaire ou secondaire. Cette information peut les aider à identifier la cause.

Développement de caractères masculins, tels qu’une pilosité corporelle excessive, une réduction du timbre de la voix et une augmentation de la masse musculaire Troubles de la vision Une variation significative du poids

Les jeunes filles doivent consulter un médecin dans les semaines à venir si :

Elles n’ont pas de signes de puberté (tels que le développement des seins ou une poussée de croissance) avant l’âge de 13 ans. Les règles n’ont pas commencé 3 ans après le début du développement des seins. Les règles n’ont pas commencé avant l’âge de 15 ans chez les filles qui grandissent normalement et ont développé des caractères sexuels secondaires.

Il est probable que ces jeunes filles soient atteintes d’aménorrhée primaire. Si une fille ou femme en âge de procréer a eu des règles qui se sont arrêtées, elle doit alors consulter un médecin dans les cas suivants :

Absence de règles pendant 3 cycles Moins de 9 règles par an Schéma des règles qui change soudainement

Il est probable que ces femmes soient atteintes d’aménorrhée secondaire. Les médecins réalisent toujours un test de grossesse lorsqu’ils évaluent une aménorrhée secondaire. Les femmes peuvent souhaiter effectuer un test de grossesse à domicile avant de consulter un médecin.

  1. Le médecin pose d’abord des questions sur les antécédents médicaux, notamment sur l’historique menstruel.
  2. Le médecin réalise ensuite un examen clinique.
  3. Les observations faites par les médecins pendant le relevé des antécédents et l’examen clinique les aiguillent souvent sur la cause de l’aménorrhée et les examens complémentaires à réaliser le cas échéant (voir le tableau ).

Concernant l’ historique des règles, les médecins déterminent si l’aménorrhée est primaire ou secondaire, en demandant à la jeune fille ou à la femme si elle a déjà eu des règles. Si c’est le cas, il lui demande à quel âge elles sont apparues et quand les dernières menstruations ont eu lieu.

Leur durée Leur fréquence Leur régularité Leur régularité au cours des 3 à 12 derniers mois Leur abondance La présence de tension mammaire ou de changements de l’humeur liés aux règles

Si une jeune fille n’a jamais eu de règles, les médecins demandent :

Si les seins ont commencé à se développer et, le cas échéant, à quel âge Si elle a eu une poussée de croissance et, le cas échéant, à quel âge Si des poils au niveau du pubis et sous les bras (signes de puberté) sont apparus et, le cas échéant, à quel âge Si un autre membre de la famille a eu des règles anormales

Ces informations permettent au médecin d’écarter certaines causes. Les informations portant sur l’existence de retard de la puberté et de maladies génétiques chez les membres de la famille aident le médecin à cerner si la cause provient ou non d’une maladie génétique.

Les médecins posent des questions sur les autres symptômes pouvant suggérer une cause et sur l’utilisation de médicaments (y compris les médicaments sur ordonnance et en vente libre, les compléments alimentaires et les opioïdes), l’exercice physique, les habitudes alimentaires et d’autres affections pouvant provoquer une aménorrhée.

Le médecin vérifie également les symptômes pouvant suggérer une cause, comme :

Un écoulement de lait provenant des deux mamelons : les causes possibles incluent les maladies hypophysaires et les médicaments qui augmentent les taux de prolactine (une hormone qui stimule la production de lait). Des céphalées, une perte auditive, et une perte partielle de la vision ou une vision double : les causes possibles incluent les tumeurs hypophysaires ou de l’hypothalamus.

Chez les filles ou les femmes en âge de procréer, les tests peuvent inclure

Un test de grossesse Analyses de sang pour mesurer les taux d’hormones Examen ou procédure d’imagerie pour examiner le système reproducteur (comme une échographie ou une hystéroscopie) Parfois, prise de médicaments hormonaux pour déterminer s’ils déclenchent les règles

Un test de grossesse est parfois réalisé même chez les filles qui n’ont pas eu de règles ou qui n’ont pas signalé d’activité sexuelle. Si la grossesse est écartée, d’autres tests sont effectués à partir des résultats de l’examen et de la cause suspectée.

Si les jeunes filles n’ont jamais eu de règles (aménorrhée primaire) et ont des caractéristiques sexuelles secondaires normales, les examens commencent par un bilan hormonal, un examen clinique, et une échographie pour vérifier les anomalies congénitales qui pourraient empêcher l’évacuation du sang menstruel de l’utérus.

Si les anomalies congénitales sont inhabituelles ou difficiles à identifier, une imagerie par résonance magnétique (IRM) peut être effectuée. Les examens sont généralement effectués dans un certain ordre, et les causes sont identifiées ou éliminées au fur et à mesure.

  • Si les symptômes suggèrent un trouble particulier, des analyses spécifiques à ce trouble sont effectuées en premier.
  • Par exemple, si la femme souffre de céphalées et de troubles de la vue, une IRM du cerveau est effectuée pour rechercher une tumeur hypophysaire.
  • La nécessité d’examens supplémentaires et leur type dépendent des résultats des examens précédents.

Les examens habituels incluent :

Des analyses de sang pour mesurer les taux de certaines hormones, y compris la prolactine (pour détecter des taux élevés, qui peuvent interférer avec les règles), les hormones thyroïdiennes (pour rechercher des maladies thyroïdiennes), l’hormone folliculo-stimulante (pour rechercher un dysfonctionnement de l’hypophyse ou de l’hypothalamus) et les hormones masculines (pour rechercher des troubles qui provoquent le développement des caractères masculins) Des imageries de l’abdomen et du pelvis pour rechercher une tumeur des ovaires ou des glandes surrénales (d’ordinaire par échographie, mais parfois par tomodensitométrie ou IRM) Un examen des chromosomes contenus dans un échantillon de tissu (comme du sang) pour rechercher des maladies génétiques Une utilisation d’hormones (œstrogènes et progestatif ou progestérone) pour essayer de déclencher les saignements menstruels

Pour l’ hystéroscopie, les médecins introduisent une fine sonde optique par le vagin et le col de l’utérus pour visualiser l’intérieur de l’utérus. Cette procédure peut être effectuée au cabinet d’un médecin ou à l’hôpital en tant que procédure ambulatoire.

L’ hystérosalpingographie consiste à prendre des clichés radiographiques après avoir injecté une substance (agent de contraste radio-opaque) visible aux rayons X par le col de l’utérus dans l’utérus et les trompes de Fallope. L’hystérosalpingographie est habituellement pratiquée en tant que procédure ambulatoire dans une salle de radiologie hospitalière.

Des hormones (progestatif ou œstrogènes plus progestatif) peuvent être administrées par voie orale pour tenter de déclencher les saignements menstruels. Si les hormones déclenchent des saignements menstruels, la cause peut être un dysfonctionnement du système hormonal qui contrôle les règles ou une ménopause précoce.

  1. Si les hormones ne déclenchent pas de saignements menstruels, il peut s’agir d’un trouble de l’utérus ou d’une anomalie structurelle empêchant l’écoulement du sang menstruel.
  2. Si une jeune fille n’a pas encore eu ses premières règles et que tous les examens sont normaux, elle doit voir un professionnel de santé tous les 3 à 6 mois pour surveiller la progression de sa puberté.

Il est possible de lui prescrire un médicament appelé progestatif et, parfois, de l’œstrogène pour déclencher l’apparition des premières règles et stimuler le développement des caractères sexuels secondaires, tels que les seins. Les problèmes associés à l’aménorrhée peuvent nécessiter un traitement, comme : Les effets de la carence en œstrogènes peuvent être minimisés en prenant de la vitamine D, en consommant plus de calcium dans l’alimentation ou avec des compléments alimentaires, ou en prenant des médicaments, notamment un traitement hormonal et des médicaments qui préviennent la perte osseuse, tels que les bisphosphonates Médicaments ou le dénosumab.

Diverses conditions peuvent perturber le système hormonal complexe qui régule le cycle menstruel, provoquant ainsi l’arrêt des règles. Les médecins distinguent l’aménorrhée primaire (des règles n’étant jamais apparues) et l’aménorrhée secondaire (des règles étant survenues, puis ayant disparu). Le premier examen pratiqué est généralement un test de grossesse. Hormis si la femme est enceinte, d’autres analyses sont généralement nécessaires pour déterminer la cause de l’aménorrhée. Les problèmes associés à l’aménorrhée (tels qu’un faible taux d’ œstrogènes ) peuvent également nécessiter un traitement pour prévenir des problèmes de santé ultérieurs, tels que des fractures dues à la diminution de la densité osseuse (ostéoporose).

Pourquoi je n’ai pas mes règles et je ne suis pas enceinte ?

Certains états médicaux à long terme tels qu’une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l’arrêt ou l’irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.

Quelle boisson pour déclencher les règles ?

Le gingembre et le curcuma, consommés en boisson chaude ou froide, favoriseraient le déclenchement des règles.

Comment savoir si je vais avoir mes règles ?

Seins sensibles. Ballonnements, rétention d’eau. Douleurs musculaires. Douleurs articulaires.

Est-ce que les Perte blanche sont signe de règle ?

Le b-a.ba de la perte blanche – Qu’est-ce que c’est ? Ce qu’on appelle communément les pertes blanches est enfaite un phénomène tout à fait naturel qui fait partie du cycle menstruel de la femme, Scientifiquement, ces pertes portent le nom de leucorrhées et sont donc des sécrétions généralement blanches qui peuvent tirer vers le jaunâtre.

Cet écoulement vaginal est produit par l’utérus et le vagin. Tout comme les règles, les pertes blanches varient d’une femme à l’autre : plus ou moins épaisses ou abondantes, certaines sont transparentes, d’autres légèrement laiteuses, d’autres blanches ou jaunes claires, etc. De quoi sont-elles faites ? Les pertes blanches sont composées de glaire cervicale,

Cette dernière est une substance produite au niveau du col de l’utérus. Elle a pour rôle d’assurer la remontée des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule lorsqu’il y a fécondation. Ainsi, le flux des pertes blanches est accru la période précédant l’ovulation. Combien de temps durent-elles ? L’écoulement commence dès le début de la puberté de la femme, accompagné du début des règles, jusqu’à la ménopause.

En d’autres termes, ces sécrétions surviennent toute la durée de la vie hormonale d’une femme. Donc il est fort conseillé de les accepter ! À quoi ça sert ? Alors si vous voyez une sorte de liquide blanc dans votre culotte, pas de panique ! Ces sécrétions vaginales sont parfaitement naturelles et jouent même un rôle essentiel dans la santé de la femme ! Certaines femmes peuvent avoir peur que les pertes blanches soient signe de mauvaise santé ou de mauvaise hygiène intime, mais c’est tout l’inverse ! Avoir des pertes blanches est synonyme d’organes génitaux en bonne santé et que la santé reproductive d’une femme fonctionne bien.

En effet, lorsque vous avez des pertes blanches, c’est votre corps qui vous dit que le processus qui vous permet d’avoir des enfants est soit en train de se faire soit en train de se mettre en place ! Mais l’utilité des pertes blanches ne s’arrête pas uniquement à être annonciatrices de bonnes nouvelles.

En effet, les sécrétions vaginales permettent d’évacuer les cellules mortes que l’on peut retrouver au niveau de la muqueuse vaginale, c’est-à-dire la surface du vagin, ainsi que la sueur et la cyprine (liquide qui lubrifie les parois du vagin lors d’un rapport sexuel). En résumé, vos pertes blanches permettent à votre vagin de s’auto-nettoyer ! C’est d’ailleurs pourquoi il est important de noter : il n’est pas nécessaire de nettoyer l’intérieur de votre vagin avec des savons souvent conçus de produits chimiques.

Cela pourrait fragiliser votre intimité, qui est une partie très fragile de votre corps. call-to-action-chloe

Est-ce qu’on peut avoir ses règles sans perdre de sang ?

Est-il possible d’avoir ses règles sans perte de sang? C’est possible, mais peu probable. Il est très rare d’avoir des règles sans voir de sang sortir du vagin parce que l’hymen n’est pas ouvert. Si la croissance mammaire a débuté il y a plus de deux ans et demi et que tu présentes des symptômes de règles sans voir de sang, il est temps de te rendre chez ton professionnel de la santé pour une évaluation.

Si la croissance mammaire date de moins de deux ans et demi, tu te prépares peut-être pour des règles accompagnées de changements hormonaux qui peuvent donner plusieurs des symptômes des règles sans en avoir véritablement. J’aimerais pouvoir te poser des questions. As-tu déjà eu tes premières règles? Quel âge as-tu? Depuis combien de temps observes-tu ce phénomène? Si tu n’as pas encore eu tes premières règles et ceci n’est survenu qu’une ou deux fois, il s’agit peut-être de ton organisme qui se prépare à tes premières règles.

Aussi, beaucoup de symptômes menstruels ressemblent énormément aux réactions provoquées par le stress – et l’adolescence peut être très angoissante! La fatigue, les ballonnements, même les maux d’estomac ou douleurs dans le bas-ventre peuvent être attribuables au régime alimentaire, au manque d’exercice et au stress.

Si tes symptômes remontent déjà à plusieurs mois, je te suggère de lire la réponse de la docteure Molly et de songer à en parler avec ton médecin praticien. Oui, c’est possible, et de nombreuses causes peuvent expliquer des symptômes menstruels avec des saignements. Parmi ces causes figurent les déséquilibres hormonaux provoqués par l’âge, le stress, la grossesse et d’autres facteurs.

Vois ce qu’en dis la docteure Molly, et si tu as encore des doutes, communique avec ton professionnel de la santé pour trouver la réponse. : Est-il possible d’avoir ses règles sans perte de sang?

Comment faire venir ces règles ?

#Ton corps possède sa propre horloge interne en fonction de laquelle il fonctionne, ce qui peut parfois être frustrant quand cette horloge ne correspond pas à tes plans. Cela l’est d’autant plus lorsqu’il s’agit des règles. Peut-être as-tu prévu d’aller à la plage le weekend et tu veux être sûre de ne plus avoir tes règles avant d’enfiler ton maillot de bain.

Ou peut-être tes règles sont-elles juste un peu en retard et tu aimerais pouvoir y faire quelque chose. Ces situations t’ont peut-être amenée à réfléchir à comment déclencher ses règles et à te demander s’il existe des remèdes de grand-mère pour provoquer ses règles. Comment avoir ses règles plus tôt ? Malheureusement, il n’existe aucune méthode éprouvée pour provoquer ses règles.

Mais si la science ne propose pas de solution miracle pour déclencher ses règles quand on le souhaite, certains disent que l’on peut essayer ces remèdes de grand-mère pour déclencher ses règles :

Manger certains aliments, comme du persil, du gingembre, des oranges ou de l’ananas, qui accélèreraient la circulation sanguine. Faire du sport (mais pas de manière intense). On dit que cela peut déclencher les règles plus rapidement. Se détendre pour réduire le stress, qui est connu pour retarder la menstruation. Pour te détendre, essaie les exercices de respiration profonde.

Aucune de ces méthodes n’est toutefois garantie ! Tu ne peux donc pas être sûre que cela déclenchera tes règles immédiatement. Il te faudra juste prendre ton mal en patience et laisser ton corps faire le reste. Est-il dangereux d’essayer ces remèdes de grand-mère ? Pas du tout ! Les méthodes indiquées plus haut ne présentent aucun danger.

  • On peut donc les essayer sans risque si l’on souhaite provoquer ses règles.
  • Rappelle-toi juste de manger équilibré, pas seulement du persil, du gingembre et des oranges ! Comment rendre mes règles régulières ? Si tu veux savoir comment déclencher tes règles parce qu’elles sont en retard et que tu t’inquiètes, essaie de voir s’il n’existe pas des problèmes sous-jacents qui pourraient causer ce retard.

Si tes règles sont en retard à cause du stress ou d’une prise ou perte de poids rapide, résoudre ces problèmes pourrait t’aider à rendre ton cycle plus régulier. Sache toutefois que tout changement dans ton quotidien ou ton alimentation n’aura pas d’effet immédiat.

  • Il n’y a rien que tu puisses faire pour, par exemple, avoir tes règles le jour même ou le lendemain.
  • Quel conseil retenir ? Le meilleur conseil pour savoir comment avoir ses règles consiste à prendre soin de soi.
  • Mange équilibré, évite les régimes stricts et les exercices intenses, et évite le stress.

Le reste appartient à ton corps et à ton horloge interne. Lorsque tes règles arriveront enfin, utilise des serviettes hygiéniques ALWAYS Platinum, Elles offrent la meilleure combinaison de confort et de protection au sein de la gamme ALWAYS grâce à leurs 1 000 micro-coussins, leurs nouvelles ailettes ultra-douces et leur cœur ultra absorbant qui transforme le liquide en gel, pour que tu puisses effectuer tes activités quotidiennes sans t’inquiéter.

Comment faire venir les règles naturellement ?

Déclencher ses règles avec des plantes emménagogues – Les plantes emménagogues sont des plantes connues pour régulariser ou provoquer les menstruations : elles stimulent notamment le flux sanguin dans le bassin pelvien et l’utérus. Parmi elles, on retrouve la menthe pouliot, la sauge et l’angélique.

Comment provoquer les règles ?

Alimentation riche en vitamine C – Comme évoqué précédemment, une alimentation équilibrée et riche en vitamine C est essentielle pour un bon équilibre hormonal. La vitamine C permet d’augmenter les oestrogènes. Les oestrogènes sont les hormones qui provoquent les contractions utérines et ainsi : les règles.

Comment sont les pertes juste avant les règles ?

La glaire cervicale – Les femmes constatent des pertes dans leur culotte tout au long du, Au cours des différentes phases du cycle, notre activité hormonale varie. Beaucoup d’œstrogènes dans la première partie, auxquels s’ajoute de la progestérone dans la seconde partie Toute cette activité cellulaire provoque, au moment de l’ovulation, des sécrétions semblables à du blanc d’œuf appelées : glaire cervicale.

Cette glaire cervicale contribue à maintenir notre flore vaginale en bonne santé en évacuant les cellules mortes et les germes pouvant devenir pathogènes. Elle a également un rôle de lubrificateur de vagin, favorisant la pénétration lors des rapports sexuels et la circulation des spermatozoïdes en cas de désir de grossesse.

Elle est donc notre alliée ?, Tout au long du cycle, ou en cas de grossesse, ou encore si une infection vaginale survient, la texture de ces sécrétions, leur couleur, leur odeur se voient modifiées. L’intensité du flux de ces pertes varie d’une femme à l’autre.

Est-ce qu’on peut avoir ses règles sans perdre de sang ?

Est-il possible d’avoir ses règles sans perte de sang? C’est possible, mais peu probable. Il est très rare d’avoir des règles sans voir de sang sortir du vagin parce que l’hymen n’est pas ouvert. Si la croissance mammaire a débuté il y a plus de deux ans et demi et que tu présentes des symptômes de règles sans voir de sang, il est temps de te rendre chez ton professionnel de la santé pour une évaluation.

Si la croissance mammaire date de moins de deux ans et demi, tu te prépares peut-être pour des règles accompagnées de changements hormonaux qui peuvent donner plusieurs des symptômes des règles sans en avoir véritablement. J’aimerais pouvoir te poser des questions. As-tu déjà eu tes premières règles? Quel âge as-tu? Depuis combien de temps observes-tu ce phénomène? Si tu n’as pas encore eu tes premières règles et ceci n’est survenu qu’une ou deux fois, il s’agit peut-être de ton organisme qui se prépare à tes premières règles.

Aussi, beaucoup de symptômes menstruels ressemblent énormément aux réactions provoquées par le stress – et l’adolescence peut être très angoissante! La fatigue, les ballonnements, même les maux d’estomac ou douleurs dans le bas-ventre peuvent être attribuables au régime alimentaire, au manque d’exercice et au stress.

Si tes symptômes remontent déjà à plusieurs mois, je te suggère de lire la réponse de la docteure Molly et de songer à en parler avec ton médecin praticien. Oui, c’est possible, et de nombreuses causes peuvent expliquer des symptômes menstruels avec des saignements. Parmi ces causes figurent les déséquilibres hormonaux provoqués par l’âge, le stress, la grossesse et d’autres facteurs.

Vois ce qu’en dis la docteure Molly, et si tu as encore des doutes, communique avec ton professionnel de la santé pour trouver la réponse. : Est-il possible d’avoir ses règles sans perte de sang?

Pourquoi je n’ai pas eu mes règles depuis 2 mois ?

Retard de règles depuis 2 mois sans rapport sexuel : est-ce normal ? Dois-je m’en inquiéter ? par Frédérique Je n’ai pas eu mes règles depuis 2 mois. Pourtant, je ne suis pas enceinte, car je n’ai pas eu de rapport sexuel. J’ai des pertes blanches avec des douleurs au ventre, mais pas de sang.

  • Est-ce normal ? Dois-je m’en inquiéter ? Frédérique, 27 ans Si vous avez eu vos premières règles il y a moins de 2 ou 3 ans, c’est banal.
  • En effet les cycles ne se mettent pas en route de manière précise tout de suite.
  • Il faut souvent du temps au corps pour ovuler régulièrement.
  • Si cela fait plus de 3 ans, c’est différent.

Si vous prenez une pilule, c’est banal, car chez certaines femmes, une contraception comme la pilule (ou le patch, ou l’anneau, ou l’implant ou le stérilet hormonal) peut finir par bloquer les saignements. Si vous ne prenez pas de pilule, je vous engage à consulter si vos règles n’arrivent pas. Catherine Solano Médecin Ses convictions : Chacun doit être encouragé à prendre en charge sa santé physique et mentale car la médecine et les médecins ne peuvent pas tout, loin de là. Et si tout le monde le faisait, les systèmes d’assurance maladie feraient du bénéfice ! Conformément à nos, les médecins ne sont pas habilités à porter de diagnostic en ligne.

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