Pourquoi Travailler?
Les raisons de travailler sont donc multiples : gagner sa vie, être reconnu, rencontrer des gens, faire des choses intéressantes. Les gratifications également, mais elles peuvent se transformer en autant de frustrations.
Pourquoi Est-il nécessaire de travailler ?
Pourquoi travaille-t-on ? Sciences Humaines N° 242 – Novembre 2012 On travaille pour trois raisons fondamentales : gagner sa vie, exister socialement et faire des choses qui nous intéressent. Mais chacune de ces motivations a ses revers, poussant chacun tantôt à s’engager tantôt à fuir.
Le lundi matin, pourquoi se lève-t-on pour aller au travail plutôt que de rester au lit ? La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Mais chacune de ces motivations a son revers. Gagner sa vie ? Certains ont plutôt le sentiment de la perdre en travaillant. Exister socialement ? Certes, le travail apporte un statut et de la reconnaissance, permet de nouer des liens sociaux, mais génère aussi beaucoup de frustrations, car travailler c’est coopérer mais aussi se heurter aux autres avec tout ce que cela comporte de conflits larvés, de rancœurs et de ressentiments.
Qu’est-ce que nous apporte le travail ?
Se sentir bien, utile et en interaction avec le monde extérieur – Notre cerveau se nourrit de stimulations intellectuelles, émotionnelles et c’est là que le travail entre en jeu. Se maintenir dans l’emploi nous oblige à sortir de chez soi, voir d’autres personnes.
- Le meilleur lieu de socialisation reste le travail sans oublier le bénévolat et les activités artistiques.
- Par ailleurs, le travail nous permet d’accéder à des ressources financières nécessaires à notre bien-être, pour obtenir un toit, une bonne alimentation, un accès au soinet cela contribue aussi à nous maintenir en bonne santé.
- Pas forcément besoin de reprendre une activité à plein temps, des missions ponctuelles, un temps partiel, un cumul emploi-retraite ou du bénévolat vous apporteront un sentiment de mieux-être !
Toutefois il n’y a pas que le travail dans la vie alors pensez également aux loisirs. Les 2 sont indispensables à un bon équilibre.
Est-il nécessaire de travailler ?
Le travail est considéré comme nécessaire dans les sociétés humaines, il est ce qui permet notamment de gagner un salaire et donc d’être indépendant financièrement parlant. Le travail a des effets sur l’homme : s’il est parfois vécu comme une contrainte ou une dépendance, le travail permet de former l’homme d’un point de vue moral et de lui apprendre à vivre avec les autres.
C’est par son travail et sa maîtrise de la technique que l’être humain a été capable de transformer la nature. Le travail se pense souvent par rapport à la question de la liberté : permet-il de libérer l’homme, ou au contraire est-il une entrave à sa liberté ? Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup d’êtres humains, puisqu’il est le seul à permettre une rémunération financière.
Il existe toutefois d’autres formes de travail que le travail rémunérateur : le travail domestique ou le travail dans les études. En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l’être humain.
La notion de travail est aujourd’hui intrinsèquement liée à l’idée de production et de rémunération. Le travail, c’est produire un effort et percevoir une rémunération en échange. Le travail permet ainsi d’être indépendant, puisque sans argent, il est actuellement très difficile de survivre. L’être humain a besoin d’argent pour payer un loyer, pour payer sa nourriture et ses vêtements, pour se divertir, etc.
Toutefois, le travail au sens de livrer un effort pour créer quelque chose, pour accomplir une tâche ou pour se perfectionner, existe dans d’autres domaines :
dans le domaine ménager : le ménage, la cuisine et l’éducation des enfants sont aujourd’hui reconnus comme un travail fatigant ; dans le domaine des études : l’apprentissage des cours, les recherches documentaires, la résolution de problèmes ou l’écriture de dissertations et d’articles sont considérés comme le fruit d’un travail intellectuel ; dans le domaine du sport : se perfectionner dans un sport avec des entraînements est considéré comme un travail physique ; dans le domaine de la création : dessiner, peindre, sculpter, les activités artistiques sont également le fruit d’un travail de perfectionnement.
Si aujourd’hui on parle moins facilement de travail lorsqu’il n’y a pas de rémunération en échange, le travail en tant que travail salarié est pourtant récent dans l’histoire de l’humanité. D’un point de vue étymologique, lorsqu’on parle du travail, on l’associe souvent à l’idée de contrainte.
En effet, on dit souvent qu’étymologiquement, « travail » signifie « contrainte » ou même « moyen de torture » ( tripalium en latin). Pourtant, cette étymologie a plusieurs fois été remise en cause. Le travail ne serait donc pas uniquement synonyme de souffrance, labeur et fatigue. En philosophie, on estime que le travail est ce qui permet la transformation de la nature : l’homme produit des objets et transforme le monde autour de lui pour l’adapter à ses besoins.
Il crée ainsi des villes. Il change son habitat naturel. Le travail, c’est donc ce qui s’oppose au loisir et au jeu, c’est ce qui permet de transformer le monde. II
Quel est l’importance du travail dans la vie quotidienne ?
Quelle place occupe le travail dans ma vie ? Quels que soient votre situation professionnelle, votre statut de salarié, votre niveau de vie, votre intérêt ou votre engagement dans votre travail, il est nécessaire de faire le point sur la place qu’il occupe dans votre vie actuelle.
- Pourquoi ? Car au-delà du sens primaire qu’on lui donne à savoir un moyen de gagner sa vie et/ou un moyen de s’épanouir, le travail a certains rôles qu’on ne lui prêterait pas naturellement.
- Ces rôles insoupçonnés du travail peuvent apparaître de manière plus importante justement au moment de la retraite ! Grâce à un rapide tour d’horizon de la manière dont le travail pourrait « briller par son absence » au moment de la retraite, vous allez pouvoir déterminer la place que prend aujourd’hui le travail dans votre vie et ainsi anticiper les modifications à venir à la retraite.
Dans une étude sociologique réalisée en 2006 pour l’INSEE, Hélène Garner et Dominique Méda font le point sur la place que représente le travail dans l’identité des Français. Il en résulte que le travail est cité en deuxième position des composantes de la définition de l’identité après la famille.
On parle ici du fait de se caractériser par son travail, le travail est donc reconnu par les Français comme une des composantes principales de leur identité. D’autre part, près de 70% des Français accordent une importance élevée à la valeur travail (Davoine L., Méda D., 2009). Cependant cette importance accordée au travail est corrélée aussi à plusieurs critères principaux : la catégorie socio-professionnelle, la situation familiale et le travail effectué.
Concernant la catégorie socio-professionnelle, les employés et les ouvriers accorderaient relativement moins d’importance au travail que les cadres et indépendants qui y trouvent un vecteur d’épanouissement et de réalisation personnelle. Concernant la situation familiale, le fait d’avoir des enfants est corrélé avec le fait de donner moins d’importance au travail. L’intérêt que portent les Français à la valeur travail quelle que soit la catégorie socio-professionnelle proviendrait de deux choses au-delà de l’intérêt intrinsèque de l’emploi qui est d’avoir une activité. Le premier est le fort taux de chômage persistant en France qui donne une autre dimension à l’activité face à l’inactivité.
Le second concerne le développement personnel au travail : plus de 50% des Français considère que leur travail leur permet de développer toutes leurs capacités (Davoine L., Méda D., 2009). Le travail offre un véritable statut social à l’individu, il est donc pour certains un lieu d’investissement très important.
Pourtant en Europe, les Français sont les plus nombreux à vouloir que le travail occupe moins de place dans leur vie (65% d’entre eux). Comment expliquer que d’un côté ils donnent beaucoup d’importance au travail et que de l’autre ils souhaitent qu’il leur prenne moins de temps ? Lucie Davoine et Dominique Méda avancent 2 deux points (Davoine L., Méda D., 2009) :
Les attentes portées au travail ne sont pas satisfaites par le cadre de travail. Le travail prendrait trop de temps par rapport à d’autres activités jugées encore plus importantes (notamment la famille).
Et vous, vous retrouvez-vous dans ce que pensent les Français ? Si vous deviez définir quel rôle joue aujourd’hui le travail dans votre vie, quelle serait votre réponse ? Nous ne donnons pas tous les mêmes rôles au travail de par nos situations personnelles et professionnelles.
De plus, certains sont plus visibles que d’autres par l’impact direct qu’ils ont sur nos vies. Pour vous aider à faire le point sur les rôles que le travail joue dans vos vies et qu’il ne pourra donc plus jouer à la retraite, voici un panel non exhaustif des fonctions psychiques que joue le travail sur l’individu.
Cette liste se base sur le travail de recherche de Jean-Marc Talpin, psychologue clinicien, professeur de psychopathologie et psychologie clinique de l’université Lumière-Lyon 2 (Talpin J-M., 2017). Rôle financier : Parmi les rôles du travail, le rôle financier est le plus évident.
Le travail permet de gagner sa vie tout au long de sa carrière. C’est aussi un marqueur de réussite et de fierté pour certains et les revenus influent aussi sur l’identité. A la retraite, la diminution du pouvoir d’achat avec la perte du salaire issu du travail peuvent être une source d’inquiétude, notamment pour les personnes qui se caractérisent personnellement par leurs ressources.
Rôle social : Le travail est un lieu d’échange et de rencontre, l’un des plus importants de toute votre vie d’adulte. On y tisse des liens professionnels, amicaux et parfois amoureux. Si les liens personnels (amicaux et amoureux) perdurent souvent après la retraite, sous certaines conditions (distance au lieu de travail, différence d’âge), ce n’est que rarement que les liens professionnels résistent.
La rupture de ces liens peut être difficile à vivre et nécessite un travail social pour en recréer de nouveaux à travers d’autres activités ou engagements à la retraite. Rôle de régulation du cadre privé : le travail joue un rôle de régulation dans la vie de couple et dans la vie de famille. Il impose un emploi du temps, il permet à l’individu de s’investir dans autre chose que le couple/la famille et il permet d’obtenir d’autres sources de reconnaissances.
Le passage à la retraite peut être le théâtre de crises pour les couples liées justement à l’absence du travail comme régulateur naturel de la vie à deux. Il est donc important d’en prendre conscience assez tôt pour réfléchir sa vie privée à la retraite, par l’organisation de son quotidien pour satisfaire cette régulation à travers des activités permettant des temps séparés et des temps ensemble. Rôle d’organisation du temps : Toute votre vie professionnelle et personnelle est en fait cadrée par un temps subi défini par le travail (heures de réveil, vacances, repos). Quelle que soit votre situation professionnelle d’ailleurs, même en recherche d’emploi, c’est bien le cadre du travail qui va définir à quelle heure vous pourrez faire vos démarches ou non, passer un entretien ou non.
Et c’est d’ailleurs bien pratique de ne pas avoir à se soucier de ce que vous allez faire aujourd’hui et à quelle heure. A la retraite c’est tout autre chose, vous allez choisir votre organisation du temps. Cela peut au début être problématique et faire peur face à tout ce temps disponible. C’est d’ailleurs d’autant plus le cas pour les célibataires ou veuves/veufs qui n’ont pas de personne avec qui entretenir une certaine temporalité dans la vie de tous les jours.
Si dans un premier temps il est important et normal de profiter de ce temps libre de toutes contraintes, il faut réussir à établir des rituels/des échéances dans votre quotidien. Rôle d’investissement stable dans le temps : ce rôle du travail un peu plus complexe à imager est en fait la capacité du travail à canaliser vos émotions et vos pulsions par un cadre stable dans le temps et un espace de contrainte vis-à-vis de vos actions.
Le travail vous permet donc de vous économiser psychiquement sur ces aspects émotionnels et pulsionnels ! A la retraite ce cadre et ces contraintes n’existent plus par le travail, il est donc nécessaire de trouver des activités vous aidant à canaliser vos émotions et vos pulsions (engagements associatifs, sports, engagement militant ou politique).
Rôle de valorisation de l’identité : Par le travail vous définissez en partie qui vous êtes et vous êtes reconnus pour cela. De même le travail est un lieu de valorisation personnelle essentielle dans la vie. Vous mettez en avant vos capacités et votre expérience au profit de la réalisation des tâches qui vous incombent.
- A travers cela vous pouvez récolter de la reconnaissance personnelle de vos pairs et de la reconnaissance d’utilité (dans le sens productif du terme) par votre hiérarchie.
- Le travail vous confère un certain statut social et une utilité sociale.
- A la retraite ces deux apports du travail disparaissent, il s’agit de les remplacer par d’autres moyens de satisfaire son besoin naturel de valorisation et de définition de l’identité que l’on peut trouver par exemple dans l’engagement extra-professionnel.
Voilà donc les fonctions psychiques du travail d’après les recherches de Jean-Marc Talpin (Talpin J-M., 2017). Le travail est une composante très importante de la vie qui joue sur de nombreux aspects personnels et extra-personnels. Le passage à la retraite marque le début d’une nouvelle période de la vie, où il sera nécessaire de combler les vides laissés par le travail dans votre quotidien à travers des engagements choisis.
Le quotidien à la retraite par ce caractère choisi est donc un véritable moyen de s’épanouir encore plus qu’au travail en vous engageant dans des domaines qui vous animent. Maintenant que vous avez pu voir ce que le travail pouvait vous apporter, vous allez pouvoir faire le point sur ce qu’il vous apporte réellement aujourd’hui sur tous les aspects abordés.
Ce travail mérite d’être réalisé scrupuleusement afin d’éviter d’éluder l’un ou l’autre des questionnements que vous pourriez avoir. En effet, la construction de votre quotidien dans le futur passe par une première phase d’introspection de ce que le travail vous apporte mais aussi de ce que le travail vous empêche de réaliser.
- Construire son quotidien à la retraite, c’est trouver des activités et des engagements qui vous permettent de tirer les avantages que le travail vous apportait, d’éliminer les parties qui vous déplaisaient et surtout de réaliser des tâches qui vous permettent de vous épanouir davantage.
- Vous pouvez pour cela réaliser un exercice simple qui consiste à définir l’ensemble des tâches que vous êtes amenés à réaliser au travail et de les classer selon qu’elles vous plaisent ou non.
Pour chacune d’entre elles vous pourrez ensuite essayer de définir pourquoi ces tâches vous plaisent/vous déplaisent. Dans un autre temps, vous devez aussi vous intéresser à la place que prennent vos relations sociales liées à votre activité professionnelle dans l’ensemble de vos relations sociales. Engagement familial, engagement associatif, engagement sportif, engagement politique, engagement militant Autant d’activités qui vous permettront de vous épanouir à la retraite. Les engagements externes vont vous permettre de restructurer votre quotidien, de valoriser vos compétences, de profiter de vos passions, de partager du temps avec d’autres personnes, et finalement de trouver votre place dans la société qui vous entoure.
Pour certains, le travail post-retraite sera une solution d’épanouissement, peut-être pas sous la même forme ni avec les mêmes contraintes mais toujours dans une logique rémunératrice. Votre travail ne vous permet pas nécessairement de prendre des temps pour vous. Il sera important de s’en consacrer malgré tous vos engagements externes.
Le travail comme composante sociale est donc un marqueur profond de ce que vous aimez faire et de ce que vous n’aimez pas faire. Il faut profiter d’être encore au travail pour identifier ce qui vous anime. Cette introspection sur votre place au travail permet également de faire ressortir des points d’attentions qui pourront orienter vos décisions non seulement au moment du passage à la retraite mais aussi en amont et en aval de cette transition.
- Par une analyse de votre place au travail, c’est votre quotidien à la retraite qui pourra commencer à se dessiner.
- Questionnez-vous personnellement sur les points abordés dans cet article et n’hésitez pas à aller chercher des avis autour de vous, auprès de vos proches, de vos collègues ou toute autre personne de votre réseau.
Le passage à la retraite se caractérise par un nouveau rapport au temps qui, de subit ou contraint par la structure du travail, devient choisi. Ces nouvelles possibilités de choix vous permettront alors de réaliser ce qui vous plaît dans le but de vous épanouir en tant que retraité,
Références bibliographiques : Davoine L., Méda D., 2009, « Quelle place le travail occupe-t-il dans la vie des Français par rapport aux Européens ? », Informations sociales n°153, p 48-55.Garner H., Méda D., 2006, « La place du travail dans l’identité des personnes », Données sociales : la société Française, Edition 2006, p 623-630.
Talpin J-M., 2007, « La retraite ou la négativité du travail », Nouvelle revue de psychologie n°23, p 83-95, : Quelle place occupe le travail dans ma vie ?
Comment le travail est une source de bonheur ?
Le travail rend-il heureux ? Selon vous, le travail rend-il heureux ? Depuis quelques années, on lit beaucoup (études à l’appui) qu’un collaborateur heureux est plus productif au travail et que les entreprises ont tout intérêt à investir dans sa Qualité de vie au travail (QVT).
Mais si être heureux permet de mieux travailler, la réciproque est-elle vraie ? Travailler permet-il d’être plus heureux ? OpinionWay s’est penché sur la question pour Microsoft en interrogeant plus de 2 000 actifs français. Spoiler : travail et bonheur seraient intimement liés ! L’étude (1) révèle que 72% des actifs français estiment que le travail participe à leur bien-être personnel.
Mais de quoi parle-t-on exactement ? Au travail comme à la maison, le bonheur est aussi délicat à définir qu’à quantifier. L’OCDE propose de le décrire comme « un état dans lequel prédominent des émotions positives, qui produisent un sentiment de satisfaction par rapport à la vie, et comporte une dimension de réalisation des aspirations des individus en lien avec la sphère collective ».
- Selon les actifs français interrogés par OpinionWay, quatre ingrédients sont nécessaires à la félicité, indépendamment de tout contexte professionnel :– vivre des moments de partage et de convivialité,– bénéficier de tranquillité, de légèreté d’esprit.
- Et notamment, ne pas avoir de préoccupation financière, de santé ou relationnelle,– se sentir libre et dégagé des contraintes du quotidien, – être capable de se montrer optimiste, et de relativiser.
Mais comment tout ceci se retrouve-t-il dans le travail ? Le management sera bien sûr déterminant, mais aussi l’environnement au sein duquel le travail prend place. Selon les actifs français (72%), le travail permet effectivement de se sentir heureux de manière générale,
Ils sont aussi 44% à se rendre chaque jour « avec plaisir au travail ». Mais pourquoi le travail les rend-il heureux ? Il procure une stabilité financière permettant de prendre soin sereinement de ses proches et mener à bien des projets personnels. Pour 80% c’est une manière de trouver sa place dans la société, pour 79%, il génère du lien social (qui fait partie des quatre piliers nécessaires à l’épanouissement), et permet de se sentir utile.
Le travail rend heureux aussi parce qu’il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l’épanouissement personnel.
À la question « le travail rend-il heureux ? » on peut donc répondre oui, puisque pour 91% des actifs, « si on est heureux au travail, cela a un impact sur notre bonheur personnel, et inversement, Le bonheur au travail et le bonheur personnel sont liés et se nourrissent mutuellement. » (1) Mais est-ce vrai de n’importe quel travail ? À lire aussi : Pour éprouver du bonheur au travail, ce dernier doit néanmoins remplir quelques critères.
Voici les principaux. Sans surprise il faut « aimer son travail », le besoin de sens prévalant légèrement sur celui de faire quelque chose qui plaît personnellement (56% contre 41%). Autre prérequis, peu surprenant au vu de l’importance accordée à la convivialité pour être heureux : avoir de bonnes relations avec ses collègues,
Moyennant quoi 73% de français ont affirmé que pouvoir continuer de se rendre au travail pendant le confinement a contribué à leur bonheur personnel. Plus inattendu et sans doute lié à une prise de conscience consécutive aux confinements successifs : un cadre de travail agréable et une adéquation des outils avec la mission à mener sont importants aussi.
Tout ce qui facilite la réalisation de sa tâche est identifié comme contribuant au bien-être au travail et donc à l’épanouissement personnel. Le travail permettant de se sentir utile, il est précieux de sentir de la reconnaissance de la part de la hiérarchie, d’avoir la confiance de son manager et de disposer d’autonomie.
Enfin, le travail ne doit pas déborder sur la vie privée : rappelons qu’il est apprécié parce qu’il permet de donner un cadre, il doit donc rester à sa place. À lire aussi : Autre révélation de l’étude, le télétravail permet d’améliorer son bien-être, mais pas n’importe comment, et pour des raisons parfois inattendues.
Ainsi, 77% déclarent que pouvoir télétravailler avec leur conjoint à leurs côtés les rend heureux. Autres atouts du télétravail qui contribuent à notre bien-être, il permet :– de gagner du temps grâce à réduction des temps de trajet,– un meilleur confort de travail, plus au calme et donc une meilleure productivité.
Pour 79% de Français « travailler au calme chez soi contribue effectivement à son bonheur personnel », – plus de flexibilité dans son emploi du temps, permettant un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Pas de rapport naïf ou fantasmé au télétravail cependant, puisque les sondés indiquent que le télétravail rend heureux sous certaines conditions.
Il faut notamment :– disposer de bonnes conditions matérielles et connexion,– maintenir un contact régulier avec collègues,– respecter les horaires de travail et résister à la tentation de la surconnexion. Dès lors, privilégier un télétravail au sein d’espaces de plutôt qu’en home office peut permettre de tirer pleinement profit de ce mode de travail, tout en évitant ses écueils.
« Pour beaucoup, la solution idéale reste un modèle hybride, avec seulement quelques jours de télétravail par semaine, et des jours en entreprise pour bénéficier des avantages de chacun des modes de travail. Dans ces conditions, le télétravail, en permettant de gagner du temps, du confort, et de mieux gérer l’équilibre vie privée/vie professionnelle, peut contribuer au bonheur au travail,
» (1) Il ressort donc de l’étude que le travail est effectivement l’un des piliers d’une vie épanouie, car il procure confort matériel (financier), reconnaissance et estime de soi, vie sociale Mais à condition de s’effectuer dans des conditions satisfaisantes ! La QVT impacte directement le bonheur au travail, qui impacte à son tour le bonheur personnel.
Quel sont les bienfaits de travail ?
Le sujet de cette chronique a été suggéré par un ami producteur qui souhaitait en apprendre plus sur les bienfaits du travail. – Nous avons d’abord cru qu’il tentait de justifier le fait qu’il travaille toujours, même sur son lit d’hôpital après une opération, au risque d’avoir des complications. Mais nous avons dû reconnaître qu’il est vrai que le travail est bénéfique. La preuve, c’est que les personnes qui travaillent sont généralement en meilleure santé psychologique que celles qui n’exercent aucune activité professionnelle. Pourquoi? Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s’accomplir, procure le sentiment d’être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l’estime de soi.
- Le travail nous donne aussi l’opportunité de nous construire une identité et de nous identifier à d’autres personnes qui pratiquent les mêmes fonctions.
- Il nous occupe l’esprit et permet de ne pas penser à nos problèmes.
- Certains d’entre vous diront que l’on dort vraiment bien après une grosse journée de travail.
Par contre, lorsqu’il devient une dépendance, le travail peut conduire à l’épuisement professionnel et à l’isolement. Même si le « gros » travailleur a souvent été fortement valorisé en agriculture, l’excès de travail peut être très dommageable, surtout s’il n’entraîne aucune reconnaissance.
- Plusieurs expriment leur fierté de ne pas s’accorder de temps d’arrêt, même malades ou après avoir subi un accident.
- Il n’y a pas que le travail dans la vie.
- Mettre tous ses œufs dans le même panier peut engendrer des risques.
- Il faut de l’équilibre pour récupérer des forces, entretenir sa machine corporelle.
Vous ne devez pas attendre que votre corps soit trop usé avant de penser à en prendre soin. Vous connaissez sûrement des agriculteurs qui ont grandement souffert de la détérioration de leur santé et de la diminution de leur condition physique. Pour reprendre un slogan connu, « la modération a bien meilleur goût ».
Q Est-ce que vous savez comment on apprend à dire non? Je me fais souvent manger la laine sur le dos. Même avec mon conjoint, j’ai de la difficulté à m’affirmer. R Lorsque nous avons de la difficulté à nous affirmer et qu’une autre personne ne veut jamais nous écouter ou tenir compte de nos arguments, une bonne technique à mettre en pratique est celle du « disque rayé ».
L’appellation fait référence aux vieux disques en vinyle qui « sautaient » et répétaient toujours la même séquence. Nous devons donc simplement répéter nos propos, autant de fois que nécessaire, et sous différentes formes. Par exemple, vous pouvez dire : « J’ai bien compris ce que tu as dit, mais c’est non.
Quelle est la valeur du travail ?
Adam Smith – Adam Smith propose une nouvelle distinction conceptuelle. La valeur est pour lui divisée entre la « valeur en usage » et la « valeur d’échange », La valeur d’échange est en partie déterminée par le travail qui se trouve objectifié dans le bien.
Ainsi, « il sera riche ou pauvre, selon la quantité de travail qu’il pourra commander ou qu’il sera en état d’acheter. Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise », La valeur du travail est invariante et permet d’évaluer tous les biens. L’argent qui permet d’échanger les biens n’est qu’une reconnaissance de cette valeur.
En effet, « des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d’une valeur égale pour le travailleur. Ainsi, le travail, ne variant jamais dans sa valeur propre, est la seule mesure réelle et définitive qui puisse servir, dans tous les temps et dans tous les lieux, à apprécier et à comparer la valeur de toutes les marchandises.
Pourquoi Doit-on aimer le travail ?
Aimer son travail pour être productif – « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie. » disait Confucius, Plus facile à dire qu’à faire. Dans les faits oui, aimer son travail participe à notre épanouissement quotidien,
Pourquoi travailler intelligemment ?
Travailler plus intelligemment – Travailler plus intelligemment, c’est optimiser le ratio effort/résultat. En fait, en travaillant plus intelligemment, on augmente sa productivité et on crée alors plus de valeur pour moins d’effort. Cela est tout à fait possible car nous sommes des êtres dotés d’une certaine intelligence, et il nous faut l’utiliser pour réduire nos efforts.
- Le moulin ou la roue sont de beaux exemples d’un travail intelligent.
- Ils permettent tout deux de travailler moins sans impacter les résultats.
- En fait, pour travailler plus intelligemment, il faut penser de manière créative et challenger son cerveau,
- Il trouvera toujours des solutions pour optimiser les efforts.
Le cerveau est un outil très puissant, utilisons-le à notre avantage. Travailler plus intelligemment permet d’être plus productif. N’hésitez pas à lire ou relire ceci pour booster votre productivité.
Est-ce que le travail libère l’homme ?
En effet, le travail est une activité qui induit de suivre des règles, et ces règles permettent à l’être humain de se libérer de la nature qui réside en lui, c’ est -à-dire de se civiliser. Cette nature qui habite l’être humain s’exprime par le désir, l’instinct et les sentiments d’après Kant.
Est-ce que le travail Rend-il libre ?
II. Le travail comme libération – Le travail est certes le seul moyen que l’homme ait d’assurer sa survie : si nous travaillons, c’est donc bien par nécessité, et même par une nécessité qui est naturelle avant d’être sociale. C’est alors la liberté humaine qui se trouve, semble-t-il, compromise.
- Pourtant, ainsi que le montre Hegel, mon humanité n’est pas un bien donné ou un bien acquis pour toujours : elle ne m’est accordée que si autrui consent à la reconnaître.
- Ce que chacun recherche, c’est donc la reconnaissance par autrui de son humanité propre : mais la reconnaître à l’autre, lui donner ce qu’il exige, c’est par là même renoncer à avoir quelque pouvoir que ce soit sur lui ; le premier qui cède dans cette lutte à mort, le premier qui accorde à l’autre ce que celui-ci demande, renonce de lui-même à se voir accorder le statut d’être humain.
Celui donc qui, par lâcheté ou par peur de mourir, cesse le combat pour la reconnaissance, celui-là est asservi : il devient l’esclave du vainqueur, qui gagne ainsi le droit d’user à sa guise de la vie du vaincu. Reconnaître la liberté de l’autre, c’est donc, nous dit Hegel, accepter d’être asservi, c’est-à-dire entrer au service de l’autre : l’esclave, c’est celui qui a choisi la vie plutôt que de risquer la mort, et ce au prix de la liberté.
Or cet asservissement a pour nom le travail. Le maître, c’est alors celui qui jouit du fruit du travail sans travailler lui-même ; en d’autres termes, il voit ses besoins naturels, et même ses moindres désirs, être satisfaits sans pour autant se voir contraint de travailler à les satisfaire. L’esclave, quant à lui, est contraint au travail pour un autre.
Lequel est alors le plus libre des deux ? On serait tenté de penser que c’est le maître qui voit le moindre de ses caprices être immédiatement satisfait sans avoir à faire quoi que ce soit pour cela. Pourtant, à l’examen, il n’en va pas ainsi. C’est que le travail, d’instrument de contrainte, devient au terme du processus dialectique la marque de la liberté véritable : alors que le maître, à qui désirer ne coûte rien, devient prisonnier et de son désir lui-même, et de l’esclave qui travaille à le satisfaire, l’esclave quant à lui apprend dans la patience et le « travail du négatif » à se dominer lui-même comme il apprend à dominer l’extériorité.
Quel est le rôle du travail dans la société ?
Le rôle intégrateur du travail > > > Le rôle intégrateur du travail > > > Le rôle intégrateur du travail
Expliquer que le travail intègre les individus dans la société en leur offrant une fonction et une protection économique. Expliquer que le travail permet à l’individu de construire son identité sociale.
L’intégration est le processus débouchant sur le partage de valeurs communes, de buts communs, entre des individus en interaction au sein d’une société ou d’un groupe social favorisant ainsi la cohésion sociale. Le travail a un rôle intégrateur car il garantit un revenu mais aussi une certaine position sociale reconnue par la société.
Le travail désigne toute action de production qu’elle soit ou non rémunérée. Un emploi est un poste occupé pour exercer une activité professionnelle rémunérée et déclarée permettant d’acquérir un statut, un revenu et une protection sociale.
1. Le travail est facteur d’intégration sociale En 1748, Montesquieu écrivait déjà dans De l’esprit des lois : « Un homme n’est pas pauvre parce qu’il n’a rien, mais parce qu’il ne travaille pas. » Le travail est donc valorisé dans la société et valorisant pour les individus car il est à la fois :
source légitime de revenus ; norme nécessaire à la reconnaissance sociale.
Pour Emile Durkheim (1858-1917), le passage de sociétés traditionnelles marquées par une solidarité mécanique à des sociétés modernes caractérisées par une solidarité organique détermine le rôle du travail par la division du travail. Cette division permet une différenciation des individus, mais elle est aussi le processus qui leur attribue une place bien déterminée dans la société.
- À toute position dans la division du travail est associée une position sociale, et une certaine reconnaissance sociale d’un statut pour l’individu.
- De plus, dans les sociétés contemporaines, l’ emploi est une forme institutionnalisée du travail,
- Il apporte au travailleur une garantie de ressources matérielles, mais aussi symboliques.
À partir de la fin du XIX e siècle, la montée du salariat dans les sociétés occidentales, impose le statut de salarié comme situation de référence. Quoi qu’il en soit, le travail des individus leur rapporte évidemment un revenu primaire ou mixte, Dans une société qui connaît une forte division du travail et une forte spécialisation des activités et des travailleurs, le revenu gagné permet de satisfaire l’ensemble de ses besoins et de vivre : nous vivons donc dans une société de consommation dans laquelle l’acte d’achat est une nécessité pour vivre.
- En outre, pour les sociétés développées, comme en France, l’acte de consommation est aussi un signe envoyé vers les autres.
- Elle permet de donner de soi une image particulière qui elle aussi est source d’identité.
- Exemple : Les footballeurs consomment des produits où les marques reconnues comme onéreuses sont mises en avant afin de montrer leurs revenus.
C’est en cela que le travail, parce qu’il est source de revenu, est une instance d’intégration sociale fondamentale. Au statut de salarié est associé une reconnaissance sociale sous la forme de la protection sociale. Cette dernière est l’ensemble de droits et garanties contre les aléas de la vie : accidents du travail, maladie, vieillesse, chômage, etc.
- Dans de très nombreux pays, le travail est la base d’un système de protection sociale assurant des revenus lorsque des risques sociaux surviennent.
- Ces revenus sociaux (pensions de retraite, allocation chômage, remboursement de dépenses de santé) sont, en effet, financés par des prélèvements sur les revenus d’activité.
Ces prélèvement alimentent soit le budget de l’État, qui verse ces revenus, soit des organismes spécialisés comme la Sécurité sociale et l’UNEDIC en France. Ces dispositions évitent aux individus concernés de perdre une partie ou la totalité de leurs revenus et de se retrouver exclus en partie de la société.
homo-faber : épanouissement de l’homme dans l’acte de produire ; homo-sociologicus : reconnaissance par les autres du travail effectué ; homo-economicus : satisfaction de la rétribution monétaire du travail.
Ainsi, la première fonction du travail est d’intégrer les individus dans la société en leur permettant de satisfaire leurs besoins et de participer à l’effort de production national.2. Le travail est source d’identité sociale Le travail est une des activités qui, quel que soit son objet précis, occupe le plus la vie des individus et les situe dans la société.
- Comme vous l’avez vu en étudiant les Catégories Socioprofessionnelles, la profession est un indicateur du milieu social auquel un individu appartient, et un critère de classement.
- En effet, les professions de médecin, ouvrier ou comptable situent l’individu dans la société en termes de prestige et de rémunération.
Ainsi, un individu se reconnaît telle ou telle place dans la société et est reconnu par les autres comme tel. Exemple : Comme on l’a vu pendant la crise du COVID-19, le personnel soignant mais aussi les agents d’entretien ou les de caisses ont été plébiscités par la population pour leur courage.
- De plus, Robert Castel parle de la « société salariale » pour qualifier le rôle identitaire du travail.
- Le travail salarié est aussi une sphère d’intégration parce qu’il permet au salarié d’acquérir une identité reconnue.
- En effet, le métier est considéré comme un élément fondamental de l’identité sociale des individus.
Une partie de la sociabilité de l’individu se joue au travail, car c’est là que l’on peut y rencontrer non seulement des collègues mais aussi des amis, voire un conjoint. Le travail est porteur d’identité sociale autant que de revenu. Il permet aux individus d’avoir une place sociale reconnue et de partager des valeurs communes au sein de son groupe socioprofessionnel.
- Exemple : Par exemple 65 % des employés sont homogames, c’est à dire qu’il se marient entre eux.
- Dans l’analyse de la structure sociale, nous avions vu que tous les auteurs s’accordent pour dire que le travail apporte un rôle économique et social, que l’on partage ou non un sentiment d’appartenance, on partage souvent un même mode de vie avec les individus de la même catégorie sociale.
Pierre Bourdieu (1930-2002) avait mis en avant le partage d’un « habitus », c’est à dire de pratiques et de consommations communes Ainsi, notre métier détermine notre donc notre identité sociale et notre place dans la société. En conclusion, le travail joue un rôle intégrateur en nous procurant un revenu pour satisfaire nos besoin et une protection sociale, ainsi qu’une place dans le système productif national.
Est-ce que le travail c’est la vie ?
Le travail, c’est la vie, et sans lui il n’y a que peur et insécurité. La dignité personnelle, le bonheur, l’accomplissement de soi, le sens de sa vie, s’obtiennent par le travail, les rêves, le désir et la volonté des individus eux-mêmes.
Quelle est la place du travail dans la vie ?
? Le travail au centre des préoccupations des salariés –
-
- Beaucoup y passent leurs journées et parfois même leurs nuits, le travail représente pour la plupart des salariés une partie importante de leur temps.
-
- Ainsi, 85% des salariés reconnaissent que le travail est un » élément important de leur vie « .
-
Au-delà d’être une source indispensable de revenus, le travail apparaît comme un vecteur de sociabilité pour beaucoup de salariés, notamment chez les femmes et les plus jeunes. C’est l’occasion de faire de nouvelles rencontres, d’y nouer des amitiés et parfois même d’y trouver nos futurs partenaires professionnels.
Le fait de devoir mettre en parenthèse leurs habitudes et de changer d’atmosphère de travail durant cette période de confinement peut être donc une source d’ennui ou d’inquiétudes pour certains de vos collaborateurs. Ne leur en tenez pas rigueur : cela est normal ! Au contraire, soutenez les dans cette période à vide en redoublant d’efforts pour communiquer, échanger et partager.
Mais comme pour tout élément auquel on accorde de l’importance, le travail est aussi une source d’inquiétude, plus de la moitié des salariés considérant que leur travail est une source de stress, Et les plus inquiets parmi les travailleurs restent souvent les plus jeunes, en début de carrière.
-
- Un stress qui tend à s’atténuer au fil des années et avec l’expérience, le salarié prenant davantage confiance en lui et se laissant moins déstabilisé par les situations délicates.
-
Un élément à ne pas prendre à la légère puisque mal géré, le stress peut être source de problèmes plus graves comme une fatigue générale, un burn-out et une dépression. Ce qui illustre encore plus fortement l’impact que peut avoir le travail sur la vie d’un actif.
-
- Essayez donc de ne pas surcharger à distance votre employé de stress, puisque la situation exceptionnelle que nous vivons est déjà assez anxiogène comme cela.
-
Quelle est la conclusion du travail ?
La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus). L’auteur y propose des solutions et peut ouvrir des perspectives nouvelles qui permettraient la poursuite de la recherche.
Pourquoi le travail est une source de liberté ?
Le travail : outil pour casser ses chaînes – Comme nous l’avons vu précédemment, le travail a aidé l’Homme à se libérer des foudres de la nature, de s’intégrer à la société et enfin à augmenter ses compétences et connaissances. Que ce soit d’une manière intellectuelle en nous permettant de penser par nous même et nous élever ou d’une manière financière en nous permettant l’indépendance vis à vis des autres, il est indéniable que le travail est un outil de liberté.
- Au fil du temps, le travail a en effet été de moins en moins contraignant.
- Au Moyen-Âge, les travailleurs étaient sous le régime du servage féodal, ce qui signifiait qu’il appartenaient au seigneur des terres sur lesquelles ils travaillaient.
- Avec l’arrivée du capitalisme, le travailleur a trouvé une certaine liberté, avec des droits, une rémunération et un encadrement (code du travail).
Maintenant, c’est le travailleur qui propose ses compétences sur un marché. La concurrence dépend alors des autres travailleurs et des besoins de ceux qui les embauchent tandis qu’à l’époque, l’esclave était propriété de son maître. Le travail et notamment sa rémunération nous libère de l’isolement, de la dépendance financières des proches ou de l’Etat mais aussi il nous aide à penser par nous-mêmes.
C’est quoi le bonheur au travail ?
Qu’est-ce que le bonheur au travail? – Par définition, le bonheur au travail consiste à se sentir bien dans son emploi, bien avec ses collaborateurs et sur son lieu de travail. Il fait donc référence à la façon dont les gens ressentent leur travail, plus que ce qu’ils en pensent.
Pourquoi on dit que le travail est un trésor ?
Passer au contenu Le travail est un trésor Le mot travail désigne une activité par laquelle l’homme satisfait ses besoins. C’est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d’exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d’être rémunéré.
Aborder la question du travail en se limitant à son étymologie latine (incertaine) nous amènerait à l’envisager négativement. En effet, l’origine du mot travail, viendrait du latin tripalium, trois pieux, instrument de torture, ce qui n’est évidemment, guère réjouissant. Il y a 2 500 ans, le point de vue du philosophe chinois Confucius (551 av.J.-C – 479 av.J.-C) offrait une perspective plus prometteuse : « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie.
» La proposition de Confucius nous invite à nous responsabiliser. Pour parvenir à réaliser ce choix et cet idéal, quelques étapes sont nécessaires. La phrase « Je veux un travail qui a du sens » exprime un désir, une volonté légitime qui n’appartient pas à l’homme moderne. Elle n’est pas le propre de la génération actuelle mais il est vrai que cette quête de sens est exacerbée par un monde où, en l’espace d’une génération, tout s’est accéléré éperdument et de façon parfois insensée.
- Un monde ou progressivement l’homme s’est éloigné de sa nature profonde jusqu’à en oublier sa propre raison d’être.
- Un monde où les pressions anthropiques sont parvenues à dérégler le climat, à menacer la biodiversité et à mettre en péril l’humanité elle-même.
- Un monde ou la dictature de l’immédiateté accélère le stress, l’anxiété.
Un monde à bout de souffle, qui le temps d’un confinement a repris une brève respiration. Un sévère avertissement qui nous a rappelé notre vulnérabilité, nous a remis un peu à notre place et nous invite à réfléchir. Pour certaines personnes, l’expression « je veux un travail qui a du sens » est ainsi devenue une façon de signifier le refus de ce monde dans lequel nous vivons.
Un cri d’alerte, une alarme. Elle marque le désir de ne plus subir, de ne plus détruire mais de contribuer, Elle objective pour d’autres l’urgence de se réinventer, de ralentir, de se resynchroniser aux cycles naturels. Et la crise que nous venons de traverser à fait érupter ce sentiment qui grondait depuis longtemps.
Cependant, si la quête de sens est justifiée, et si elle peut être guidée, éclairée, par un conseiller, un mentor, un proche, sa résolution appartient en premier lieu à celui ou celle qui l’exprime. Cette aspiration sonne le démarrage d’un travail personnel mais ne doit en aucun cas devenir une injonction envers autrui.
- Et il serait inadapté, voire utopique, d’adopter une posture attentiste et d’espérer que la Société, l’Etat, l’Entreprise, ou n’importe qui, vienne fournir la réponse à sa propre ambition.
- Point de révélation, auteurs, fabulistes, philosophes, écrivains, sont nombreux à l’enseigner depuis des millénaires.
Ce qui fait sens pour moi, relève de la connaissance de soi.
Aristote (384 av.J.-C. – 322 av.J.-C.) : « Se connaitre est le début de toute sagesse » Socrate (470 av J.-C – 399 avant J.-C.) : « Connais-toi toi-même » Jean de La Fontaine (1621 – 1695) « Qui mieux que vous sait vos besoins ? Apprendre à se connaître est le premier des soins ». Pierre Corneille (1621 – 1684) « Apprends à te connaître, et descends-en toi-même. »
A chacun donc, d’explorer sa voie et d’y trouver ses réponses. Alors que nous arrivons au monde, incompétent et ignorant de tout, cette réflexion infinie nous offre une nouvelle naissance, celle de notre raison d’être. En ce sens La connaissance de soi, est un travail merveilleux puisqu’il nous offre la perspective de nous réaliser, à l’inverse, rester dans l’ignorance alimente les souffrances.
Expérimenter, chercher, être acteur dans cette quête de sens pour envisager de s’engager dans un travail qui nous plaise. Juste équilibre et rencontre entre ses compétences, ce que l’on aime faire, et les besoins de la société. Il est inenvisageable d’attendre de l’Entreprise de nous fournir la réponse à nos questions existentielles.
Insensé de penser que c’est son rôle de nous permettre de trouver un sens à notre vie. Chacun dispose d’un talent, d’une richesse qu’il découvrira et choisira de fructifier comme le rappelle la parabole des talents. Si le talent est une monnaie antique, c’est également la richesse de notre personne qui fait de nous un être singulier, unique et que nous devons découvrir puis développer.
- Se réajuster, se réaligner La maison, l’école, les loisirs sont les premiers lieux d’apprentissage, de découverte de soi.
- Les différentes expériences que nous rencontrons tout au long de notre vie, l’altérité, les événements que nous traversons nous permettent d’affiner cette connaissance et de nous construire.
Il conviendrait dans un second temps, de ne pas réduire notre travail à son simple exercice mais d’en observer le fruit, De s’intéresser à son utilité finale et à la satisfaction qu’il produit plus qu’à l’action en elle-même. J’œuvre pour qui ? Pourquoi ? Pour quoi ? Que me procure mon travail ? Que m’apporte-il ? Pourquoi est-ce que je l’aime ou pas ? Quelles valeurs me permet-il d’incarner ? A quelle mission contribue-t-il ? Lors de la crise du COVID 19 que nous venons de traverser, ce qui a rendu le travail des caissiers et caissières valorisant, ce n’était pas tant leur travail que leur présence à leur travail,
C’est leur engagement qui faisait sens. La crise a rappelé à tous, la valeur de ce maillon. Et il a pris un visage héroïque parce que c’était des hommes et des femmes qui s’exposaient et non des caisses automatiques. Dans cette période de souffrance, de distanciation sociale combien ont apprécié de voir un sourire plutôt qu’une machine ? Et dans le cas de ces professions, plus ou moins médiatisées, qui ont continué de travailler, la réponse à la question du sens se traduit dans l’incarnation des valeurs : courage, solidarité, service, etc.
Cela est vrai également hors crise. Lorsqu’une infirmière intervient auprès de personnes âgées ou non, pour pratiquer des soins de propreté, de santé, c’est son humanisme, sa générosité qui la porte au quotidien, mais ce n’est certainement pas le plaisir de préparer un pilulier ou de changer des couches ou un pansement. Lorsque nous ne nous sentons plus alignés entre ce que nous pensons, ce que nous ressentons et ce que nous faisons, il est nécessaire de se poser pour y voir plus clair. Qu’est ce qui est à l’origine de ce sentiment ? Est-ce mon travail ? Mon environnement ? mon entreprise ? une personne de mon entourage ? Un déséquilibre dans mes activités ? une organisation défaillante ? Qu’est ce qui a changé ? L’éthologue et anthropologue britannique, Jane Goodall (1934) nous invite à garder le cap de notre vie : « Laissez-vous guider par votre rêve, même si vous devez momentanément le mettre de côté pour trouver un emploi ou payer votre loyer. Trouver sa place et exercer son travail dans le cadre qui nous convient L’entreprise agricole, industrielle, commerciale répond également à un besoin en fournissant un service ou un produit. C’est de sa responsabilité d’expliquer à ses salariés et au monde extérieur sa contribution, sa mission, le célèbre Why popularisé par le conférencier britannique Simon Sinek.
Dans sa récente déclaration le P.D.G de Danone, Emmanuel Faber, franchit un nouveau cap, renouant ainsi avec les valeurs de son fondateur Antoine Riboud. Danone devient la première entreprise française côtée à devenir « entreprise à mission » et à ne pas viser la seule performance économique ou rentabilité.
Désormais la mission du groupe Danone est : « Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre ». Intégrer des valeurs humaines dans l’entreprise n’est pas une nouveauté, de nombreuses entreprises notamment familiales, souvent discrètes le font très bien depuis longtemps.
- Le dernier livre de Isaac Getz et Laurent Marbacher intitulé « l’entreprise altruiste » et sorti en octobre 2019 les consacrent.
- Ce sont de nombreux exemples d’entreprises performantes ou la réussite économique coexiste avec le bien commun.
- Pour relire l’interview de Laurent Marbacher par ERM Conseil cliquer ici ) Dans ces entreprises, les auteurs relèvent un sentiment d’appartenance fort, un turnover faible, une fierté assumée par les salariés.
Leur travail fait sens parce que les valeurs exprimées par leur entreprise et leur(s) dirigeant(s), et relayées par les managers, résonnent en eux et se traduisent par des actes concrets envers l’ensemble de l’écosystème. Il y a une convergence d’intérêts communs, de vision.
Au-delà du devoir de nous responsabiliser, Confucius nous rappelle notre liberté de choix. Liberté de travailler à son compte, de créer son entreprise ou de rejoindre une entreprise existante. Liberté d’exercer un travail source d’épanouissement et de richesses multiples. Heureuse perspective qui devrait redonner au travail sa noble valeur,
Blandine Mantelin – Dirigeante d’ERM Conseil
Qu’est-ce que le travail pour l’homme ?
Définition et conception du travail en rapport avec l’homme Chapitres
- 01.
- 02.
- Travail : Vient du latin Tripalium
- Tri : Trois
- Palium : Pieux
- Renvoie à un instrument que l’on mettait au pied des cheveux pour les contraindre à ne pas bouger.
- C’est un instrument de contrainte, de torture.
Signification négative du travail.
Définition générale : Le travail est une activité consciente, réfléchie et volontaire, donc purement humaine qui transforme l’homme et le monde. C’est l’activité la plus présente et parfois la plus oppressante dans la vie de l’humain. Problématique :
La double signification du travail humain en occident est paradoxale : Le travail a été pensé comme activité négative, puis comme activité essentielle et libératrice,
Est-il nécessaire pour l’homme de travailler ?
Le travail est une nécessité. En effet, l’ Homme n’a pas le choix, il est obligé de travailler, car s’ il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d’obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Pourquoi le travail libère l’homme ?
Peut-on dire que le travail libère l’homme ? « Termes du sujet: TRAVAIL: Du latin populaire tripalium, «machine à trois pieux » destinée à immobiliser les chevaux pour les ferrer, d’où « instrument de torture ». Toute activité visant à la production d’une oeuvre utile.
- Spécialement, ensemble des activités accomplies par l’homme pour produire des biens et des services en contrepartie desquels il est rémunéré.
- Le travail est souvent associe a la peine et a la souffrance.
- Dans la Bible d’ailleurs, Dieu punit le premier péché en chassant Adam du jardin d’Eden et en l’obligeant à cultiver désormais une terre stérile : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ».
• Pour Marx, le travail humain contribue à transformer l’homme tout autant que la nature. En effet, contrairement à l’animal, qui agit par pur instinct, l’homme détermine dans sa conscience le but qu’il veut atteindre avant de le réaliser. « Ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais architecte de l’abeille la plus experte, écrit Marx, c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête avant de la construire dans la ruche.
» • Le travail salarié constitue, selon Nietzsche, « la meilleure des polices » : « il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance ». Problématique: Le travail nous impose de multiples contraintes. Il limite notre « temps libre » et exige souvent de nous des efforts que nous ne consentirions pas à faire de notre plein gré.
Comment donc pourrait-il constituer un facteur de liberté ? 1) Le travail, c’est la liberté.A. Le travail affranchit des contraintes naturelles. Travailler permet en effet de satisfaire ses besoins vitaux. Comme le souligne Protagoras, dans le discours éponyme de Platon, grâce à la puissance de son travail, amplifiée par les inventions techniques, l’homme parvient à maîtriser les conditions de son existence biologique.B.
Travailler, c’est aussi gagner une certaine indépendance sociale. L’homme qui travaille assure lui-même sa subsistance et est moins dépendant à l’égard d’autrui et de sa compassion qui reste toujours hypothétique. Cette conception du travail est défendue par Adam Smith dans « Richesse des nations ».C. Le travail se révèle également indispensable à la formation de notre conscience personnelle et de notre raison.
Par la production d’objets, l’homme prend conscience de son pouvoir et de sa nature. Il se révèle à lui-même comme un être rationnel, capable de former le concept d’une chose à fabriquer. Néanmoins, l’activité du travailleur n’est-elle pas pétrie de contraintes bien plus fortes que celles dont il croit s’affranchir par le travail ? 2) Le travail, une condamnation à perpétuité.A.
- La nécessité de travailler a traditionnellement été perçue comme une servitude.
- Dans la « Genèse », Adam et Ève sont condamnés au travail par une malédiction divine.
- Travailler est, en effet, le symptôme de notre incapacité à endiguer définitivement les contraintes naturelles.
- Le travail est sans fin parce que la liberté qu’il procure, à l’égard de la faim par exemple, est toujours provisoire et fragile.B.
Le travail mécanisé produit, en outre, de nouvelles contraintes biologiques. Comme le souligne Hannah Arendt dans « Condition de l’homme moderne », le travail industriel exige du corps humain l’adoption d’un rythme nouveau et l’apprentissage de certains gestes artificiels.
- C’est l’homme qui doit désormais s’adapter à son outil et non l’inverse.C.
- Enfin, la parcellisation du travail introduite par le fordisme ôte au travailleur la possibilité de se reconnaître comme l’auteur d’une oeuvre.
- C’est ce que Marx met en évidence, dans « Manuscrits de 1844 », lorsqu’il dénonce la séparation radicale introduite par l’industrie entre le travail intellectuel de conception et le travail manuel de production.
Au début du XX ième, Taylor invente « l’organisation scientifique du travail », qui vise à augmenter la productivité en rationalisant le travail. Le travail est divisé de telle sorte que chacun n’effectue plus qu’une parcelle de l’objet. Le travailleur répète toujours les mêmes gestes.
- Aucune habilité de métier n’est plus nécessaire, les tâches simplifiées peuvent être exécutées sans formation.
- Ce qui entraîne pour l’ouvrier une activité dénuée de sens et ennuyeuse, simple moyen de gagner sa vie.
- L’idée d’aliénation semble particulièrement adéquate pour désigner ces phénomènes.
- La « rationalisation » du travail, est critiquée comme déraisonnable d’un point de vue humain.
D’autre part, au nom de l’égalité entre les hommes, il est possible de reprocher à la rationalisation du travail d’accentuer la division entre travail intellectuel et travail manuel et entre tâches de commandement et tâches d’exécution. En effet, l’organisation de la fabrication du produit doit être pensée entièrement à l’avance et la production décomposée en un certain nombre de gestes : ce travail préalable de conception n’est pas le fait de ceux qui exécuteront le travail.
De plus, l’exécution d’une tâche dépendant de l’exécution d’une autre, les rythmes de production doivent être strictement respectés et donc contrôlés. Il faut distinguer ici « exploitation » et « aliénation ». Ce ne sont pas des termes équivalents : le mot « exploitation » désigne la réalité économique d’un travail non payé, au moins en partie.
Le mot « aliénation » renvoie à une situation où le travailleur ne se « reconnaît » plus dans son travail. Il ne s’agit plus seulement de la dimension. » : Peut-on dire que le travail libère l’homme ?
Pourquoi vous travailler chez nous ?
Amenez votre réponse de manière subtile – Quand on vous demande « Pourquoi souhaitez-vous nous rejoindre ? » ou « Pourquoi postulez-vous chez nous ? » pendant un entretien d’embauche, vous devez fournir la réponse que vous avez préparée, mais en vous exprimant de manière naturelle. Inspirez-vous de l’une des introductions suivantes pour créer votre réponse sur mesure :
« Je considère cette opportunité comme un moyen de contribuer à une entreprise / industrie passionnante / visionnaire / au développement rapide, et je pense pouvoir le faire grâce à mon / ma / mes » » « Je pense que mes compétences/ma connaissance du secteur d’activité, conviennent particulièrement bien à ce poste parce que » « Je pense posséder les connaissances requises pour réussir à ce poste et dans l’entreprise parce que » « Je suis enthousiasmé par cette opportunité professionnelle car elle me permettrait de » « Vous rejoindre me permettrait de. » « Le projet de l’entreprise, au-delà du poste, correspond à mes aspirations professionnelles »
Confrontés à la question « qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui à postuler auprès de cette entreprise ? » (ou à d’autres demandes tout aussi complexes comme « Parlez-moi de vous » et « »), vous pouvez ressentir de la peur de commettre un faux-pas, mais en anticipant et argumentant votre réponse, vous augmenterez vos chances de faire faire la différence avec d’autres candidats.